ÂGE : 24
SEXE : M
NATIONALITÉ : Américain

ANNÉE : Septième année
MATIÈRES FACULTATIVES : Sport - Art
RACE : Génie élémentaire du feu
CATÉGORIE : Féérique

POUVOIR ACTIF : Magie élémentaire
Elementaire de feu. Sur le papier ça claque, dans les faits c'est autre chose. Je dois toujours faire attention à ne pas perdre le contrôle. Et se contrôler c'est dur surtout au vu de mon naturel plutôt explosif.  
Certains disent que j'ai un gros potentiel, d'autres tournent ça d'une autre manière. Ils disent que c'est du gâchis d'avoir un tel potentiel lorsque l'on ne sait pas le maîtriser. J'avoue. J'ai du mal, même si mes progrès sont indéniables depuis ces sept dernières années, j'ai encore des progrès à faire.

A l'heure actuelle, je suis capable de faire toutes les tâches moindres telles qu'allumer des bougies ou des feux de camps. Mais je travaille depuis plusieurs années sur des attaques offensives et défensives. Résultats actuels ? Pas grand chose. Quelques attaques (boules de feu, petits tourbillons, ...) et éléments de défense mais rien de bien probant. Mais je réserve quand même une ou deux surprises de choix dans mon répertoire...

Ah et quand je m'énerve au point de "péter les plombs", je suis plutôt du genre explosif et à créer des gros feux tout chauds tout beaux. Mais bon, ça n'arrive presque jamais. Presque.

DESCRIPTION GLOBALE :
Comment me définir ? Débutons par le plus simple, le physique.
 Je dois faire aux alentours du mètre quatre-vingts. Je ne suis pas un géant, mais je me complais à dire que, pour ma race, je suis plutôt quelqu'un de grand. Et relativement baraqué, là encore je ne suis pas musclor mais tant mieux. Les gros tas de muscles c'est, en général, royalement moche. Doté d'une tignasse noire de jais, j'ai également quelques plumes accrochées dans ma tignasse. Ca en motive surement certains à vouloir me voler dans les plumes. Mais manque de bol pour eux, je suis une brute. De ce fait, j'ai quelques balafres de guerres disséminées sur le corps.

La plupart des gens me prennent pour une personne violente et agressive. Ils n'ont pas tort, en réalité je suis du genre à aimer me battre. Même sans magie, distribuer les coups ça me relaxe. Et c'est d'autant mieux quand je peux utiliser ma magie... On vous dira que je ne suis pas vraiment la personne la plus fréquentable qui soit ici. Je. M'en. Tape. Et royalement. Ma réputation ne m'importe pas, qu'ils pensent ce qu'ils veulent je n'ai pas de comptes à leur rendre. Et s'ils ne sont pas contents, je les attends. Humpf !
Vous l'aurez compris, je ne suis pas une personne qu'on pourrait qualifier de naturellement joyeuse. Je suis un grognon ayant tendance à ruminer sans cesse. Je m'étonne encore de ne pas avoir un petit gribouilli gris au dessus de ma tête, comme on peut le voir dans les bandes dessinées. Drôle d'image. Je me marre (mon humour n'est pas du goût de tout le monde non plus, étonnant).

Tout cela m'amène à parler de mes relations. Plutôt houleuses en général je vous le concède, mais il m'arrive aussi d'être sympathique. Mais à quelques conditions. Primo, que je vous aime bien (bonne chance). Deuxio, que je sois dans un bon jour (ce n'est pas souvent). Et tercio, que je sois détendu (hum... ça ça le fait). Sans ça ce n'est pas la peine d'espérer que je sois tout doux tout gentil. Et bien évidemment réunir ces conditions n'est pas simple. Je vous le rappelle, je suis grognon. Enfin bref. Dans tous les cas si vous appartenez à mon très restreint groupe d'"amis", vous pourrez compter sur moi coûte que coûte. Même si bien évidemment ça je ne le dirai pas verbalement. J'ai du cran et je ne rechigne jamais à  venir filer un coup de main à ceux que j'estime méritants.  

Vis-à-vis de mes rapports au pensionnat... Je n'ai pas grand chose à dire. Je leurs suis reconnaissant de m'avoir récupéré et ils peuvent compter sur moi en cas de besoin. Cependant les cours, j'ai plutôt du mal à accrocher ça ne m'intéresse pas vraiment. Je suis intelligent, je m'en tire avec de très bonnes notes, mais je n'aime pas potasser et encore moins rester sur une chaise. Donc bon, on peut me classer parmis les élèves "indisciplinés", "n'y mettant pas du leur" ou encore parmis les "fauteurs de troubles". C'est ce qu'ils disent, mais en même temps, étant donné que j'ai la fâcheuse manie de quitter la salle avant la fin du cours pour aller flâner... Je pense qu'ils peuvent m'appeler comme ils veulent.

Enjoy. Humpf.

HISTOIRE :
Quand j'étais petit. J'habitais la grosse pomme, profitant des nombreux squares et marchands de glaces ambulants qui s'y trouvaient. Un père peu présent, toujours à l'autre bout du monde pour son boulot de médecin dans le tiers monde. Et ma mère, accumulant les petits boulots mal payés pour essayer de joindre les deux bouts. Ce n'était pas vraiment le climat le plus adapté pour me permettre d'avoir une bonne évolution. Pour tout vous dire, j'étais un sale môme qui menait la vie dure à ma mère (et je suis toujours un sale môme, sauf que je mène désormais la vie dure à d'autres personnes).

Quand j'étais adolescent. J'étais une tête  brûlée,  toujours mêlé aux histoires qu'il ne fallait pas. Je ne travaillais pas à l'école et je passais la majeure partie de mon temps avec une bande plutôt douteuse. Je n'avais aucun scrupule à laisser ma mère se débrouiller seule, préférant aller flirter avec des délices peu recommandables. Alcool, cigarette, quelques drogues, rixes de rue... Bref j'étais au plus bas et dans ma tête j'avais renoncé à l'idée de devenir quelqu'un de bien. Cela faisait déjà quelques temps que j'avais compris que je n'étais pas normal, que j'étais différent.
Puis ça a commencé avec une allumette que j'ai allumé sans que je ne l'ai gratté. Ca a enchainé quelques temps plus tard avec un feu de camps qui s'est éteint à mon approche. Je ne disais rien, mais je commençais à flipper violemment.

Quand j'ai eu 16 ans. Les choses ne s'étaient pas arrangées. Côté famille, mes rapports s'étaient envenimés avec mon père et je ne parlais presque plus à ma mère. J'avais trop de choses dans la tête pour me soucier du mal que je pouvais leur faire. Au lieu de ça, je me préoccupais de ma place dans la société. Autant préciser que je tenais ma petite place de rebelle à coeur et que les guerres de rue continuaient. Mais ce n'était pas ça le plus important. Ma vie avait pris un tournant imprévu. Mes petits tours de pyromane avaient accéléré le tempo. La colère alimentait le feu, le calme le tenait en alerte.
Puis le jour fatidique est arrivé. J'ai pété les plombs. On était dans une ruelle, un contre un. La nouvelle petite frappe du quartier qui ne supportait pas de voir mon désintérêt vis-à-vis de sa personne. On a commencé à se frapper comme les garnements que nous étions. Et j'ai totalement explosé quand il a commencé à parler de ma mère. Quand il a commencé à la menacer. Il avait bien étudié son quotidien et savoir qu'il savait tout des habitudes de ma mère m'a mis hors de moi. Alors je n'ai rien retenu.
Je ne savais pas comment le feu était apparu, mais il était là. Avec moi. Pour moi. Alors je l'ai utilisé, je l'ai laissé s'exprimer. Sa vive chaleur était venue lécher la ruelle dans laquelle nous nous trouvions, j'allais le tuer. Et... J'ai tout stoppé. J'ai fuis comme un vaurien sans regarder derrière moi. Mes pensées étaient noires et j'avais failli tuer un voyou de mon âge. Autrement dit, j'allais tuer un idiot. Et pire que ça j'avais failli le tuer avec du feu. Sorti de nul part. J'étais fou.
Après cet incident, je ne savais plus où me mettre. Chez moi j'étouffais, dehors j'avais peur de devenir cinglé. Alors je zonais dans des lieux méconnus. Dans les quelques espaces peu fréquentés de la grosse pomme. C'est sur un toit de premier choix que je l'ai rencontré. J'étais allongé sur le dos, regardant les nuages défiler à un rythme lent et irritant. Je n'ai pas vu son visage, il m'a simplement dit de me lever, d'aller récupérer des affaires. Il m'a dit qu'on partait. Je ne l'ai pas cru. J'ai plongé mon regard dans le sien et j'ai réfléchi. Que me restait-il à faire à New York ? Quel futur ? Aucun au vu de mon comportement et des ma fâcheuse tendance à faire brûler les choses. Alors oui, je me suis levé. J'allais recommencer ma vie. Ailleurs. Ma mère était absente, je lui ai juste laissé un mot. Un mot d'une importance capitale à mes yeux. Un mot qui révèle des choses que vous voudriez savoir mais que je ne vous dirai pas (et bam!). Personne ne le sait, personne ne m'a encore percé.

Quand je suis arrivé au pensionnat. C'était la fin d'année scolaire, j'étais exempt de cours jusqu'à la rentrée suivante. Je voyais des gens qui n'étaient pas humains. Je n'étais moi-même pas humain. L'oracle m'avait tout expliqué, il m'avait conduit ici et était reparti faire son job sans demander son reste. On m'avait accueilli. Au cours des mois qui suivirent, je compris que les amis ne seraient pas nombreux à se présenter. Après tout j'avais toujours un comportement peu enclin à la socialisation. Je rejoignis donc la session suivante et les cours me firent comprendre de nombreuses choses. Parmis lesquelles le fait que je n'aimais vraiment, mais vraiment pas rester assis sur une chaise.

Aujourd'hui. Je me sens bien dans cette académie. Je ne sais pas ce que me réserve le futur mais je sais que je ne couperai pas les ponts avec. Elle m'a trop apporté depuis ces 7 dernières années. Le temps passe vite. Je continue à embêter les profs, à me prendre la tête avec d'autres élèves et à m'entraîner. Je me suis même fait quelques amis, pour vous dire à quel point j'ai évolué.
Ma nouvelle vie commence à se développer. Mais il y aura toujours à la base, ce caractère de rebelle.
 

PSEUDO : O-Shana
ÂGE : 19
COMMENT ÊTES VOUS ARRIVÉ ICI ? J'ai été corrompue par Jack alors que je tentais d'échapper à mon cours de sociologie :x
UN PETIT AVIS : Franchement sympa, le cadre est beau et ça a l'air beaucoup plus relax qu'Elden et ça, ça me plait c'est parfait ! :D
DES SUGGESTIONS ? Offrez moi des cookies et je serai gentille
UN MOT POUR LA FIN : J'aime les pinguins et les phoques, mais si vous m'offrez des cookies vous serez bénis ! °A°