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 Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~

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CHEF CUISTOT
Anko Kobayashi

Anko Kobayashi
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MessageSujet: Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~   Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~ EmptyLun 20 Avr - 1:17

Anko Kobayashi



Identité

ÂGE : Ça ne se demande pas à une dame, ça, même quand elle a les oreilles poilues !
SEXE : Féminin.
NATIONALITÉ : Japonaise.

MÉTIER : Chef cuisinière / responsable du club de cuisine.
RACE : Bake-danuki.
ORIGINES :Sang pur.

CARACTÉRISTIQUES RACIALES :
Spoiler:
Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~ X7sGh7E
Anko a naturellement l'apparence d'un chien viverrin (voir illustration ci-dessus), mais l'absence de pouces opposables et la prolifération de poils lui font plus souvent adopter un corps plus humain. « Plus » est sans doute le mot qui convient, car elle ne se sépare que très rarement de ses deux oreilles touffues et de sa longue, grosse queue toute poilue et toute douce. Lorsqu'elle doit passer pour une humaine parfaitement normale, elle les réduit grandement afin de pouvoir les cacher sous ses cheveux et ses vêtements.
Comme il ne s'agit que de « déguisement », Anko bénéficie de l'ouïe et de l'odorat des chiens viverrins, ainsi que d'une résistance à l'alcool défiant toute concurrence.  
POUVOIRS ACTIFS : Anko bénéficie donc d'un important pouvoir de transformation, l'apanage de sa race. Elle peut se transformer en tout et n'importe quoi, en théière comme en champion de ski, selon l'humeur du moment. La durée et « l'authenticité » de ses déguisements dépendent de plusieurs facteurs : la crédulité de l'audience, son état de fatigue, la quantité de saké qu'elle a pu ingérer au paravent et la présence ou non de feuilles mortes à placer sur sa petite tête. Les feuilles mortes revêtent un intérêt tout particulier pour les bake-danuki et lorsqu'ils en trouvent une particulièrement plaisante, ils ne s'en séparent jamais.
Deuxièmement, la cuisinière ayant grandi au milieu de changeurs de forme, elle a l'habitude de détecter les illusions et de voir au travers, surtout si celles-ci ont été lancées par quelqu'un de moins habile qu'elle. C'est un pouvoir qui est encore en cours de développement : ce n'est pas un pouvoir traditionnel des bake-danuki mais plutôt une aptitude qu'Anko a développé pendant les années les plus chaotiques de sa folle jeunesse. Il prend la forme d'une prescience, d'un sentiment que « quelque chose ne va pas ». Trouver l'illusion et voir au travers lui demande une certaine dose de concentration (et de sake par la même occasion).


votre personnage

DESCRIPTION GLOBALE :
Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~ Mpg4Ban
Il n'est pas aisé de décrire ce qui, par essence, est toujours changeant. Si « le monde est une branle pérenne », Anko est une plume portée par le vent, les dizaines de graines de pissenlit essaimées par le souffle d'un enfant. Elle vit sa vie de bake-danuki sans se poser trop de questions, allant là où ses pattes la portent et où le sake coule à flot.
Anko aime par-dessous boire et fumer, que ce soit le tabac de sa pipe ou la sauce frémissante d'un bon ragoût maison. Du bœuf et des carottes, y'a que ça de vrai, dans la vie. Elle fait d'un pont son chez-soi, d'un cercle de pierres sa cuisine. Elle n'est pas vraiment sortable, avec son haleine chargée d'alcool et sa fourrure mal brossée. Elle s'en fiche. A Abberline, elle reste au fond de sa cuisine, se chargeant tous les jours de répondre à la question ultime que des centaines de ventres affamés lui posent chaque matin – et sinon, aujourd'hui, qu'est-ce qu'on mange ?

Il faut un menu classique, qui procure aux élèves les plus humains tous les nutriments dont leurs corps ont besoin pour continuer à ne pas détruire la planète. Il faut un menu végétarien, pour les plus sensibles d'entre eux. Il faut un menu chargé en protéines animales pour nos amis les garous. Il faut garder le sang et en faire des cocktails parfumés pour les morts-vivants. Il ne faut pas oublier que le directeur adore la rhubarbe ou que les profs exigent d'avoir des menus à thème de temps en temps, pour changer. Les sirènes ne mangent pas de poissons, sauf quand elles adorent ça et ne veulent rien d'autre. Saviez-vous que les maîtres du ciel aiment par-dessus tous les graines ?
Et le cerveau d'Anko tourne à plein régime, pendant que ses mains touillent, touillent et que ses pieds tapent, tapent, au rythme d'une chanson qu'elle est la seule à entendre.
Une feuille morte à la place d'un steak ? On a oublié de tuer le poulpe avant de vous le servir ? C'est pas de sa faute, elle est alcoolique. Occupez-vous plutôt de plaindre les pauvres âmes qui composent son équipe.

Anko est difficile à vivre. Exubérante, excentrique, généralement explosée de fatigue. Une hygiène douteuse, un style vestimentaire tout droit sorti de l'ère Meiji… Aux premiers abords, elle peut faire peur. On la croisera généralement sous une forme plus ou moins humanoïde – deux oreilles touffues couronnant une tignasse brune qui tombe sans grâce sur un visage aux yeux rieurs. Un ventre rebondi, des doigts crasseux, des pieds nus et noircis par la poussière des chemins. Et cette feuille, bon sang – cette feuille immense qu'elle porte sur sa tête ! On remarquera tout de suite sa queue, immense, soyeuse. Un poil doux et brillant, qui appâte le regard et le doigt, qui appelle la caresse et qui vous attirera les foudres de sa propriétaire. On ne touche pas la queue d'une Dame, c'est pas poli ! Vos parents, ils vous ont jamais rien appris ?! … Ah merde, t'es orphelin ? Bon, ça va, pleure pas petit, tiens, voilà un cupcake. J'ai mis du sake d'dans, tu diras pas à tes profs. C'est bon, le sake, hein ? Comment ça, ça à l'goût d'un yaourt nature, mon truc ? J'en sais rien, c'est pas moi qui vient de manger un yaourt à la main ! Warf, warf, warf !

Si on oublie son goût naturel pour les blagues vraiment pas drôles et parfois même un peu cruelles, Anko n'est pas foncièrement méchante. Elle peut même faire preuve d'une générosité inattendue – n'est-elle pas censée apporter la prospérité ? - et d'un grand sens de la loyauté. Sur parole donnée un tanuki ne revient jamais. Et ça tombe bien, parce qu'elle a tendance à revenir sur tout le reste. Elle vous aimera un jour pour vous ignorer le lendemain et ses goûts changent plus vite qu'il ne lui faut pour changer de visage. Elle aime parfois sortir en ville sous une autre apparence. Une dame élégante, un vieux monsieur respectable… le changement d'attitude, le soudain respect que lui octroient les passants et les commerçants l'amusent et l'attristent à la fois. Elle s'en fiche, elle s'en fiche. Sa forêt lui manque, parfois. Le Japon lui manque, parfois. Alors elle boit du thé vert et se console en mangeant des algues.

Souvent, un élève lui tape dans l’œil – un petit jeunot qui découvre son premier tartare ou une pitchoune qui veut apprendre à faire des sushi – et c'est l'amour fou. Anko ne les lâche plus, elle les adore, elle les couve et les protège. Aucun sens de l'espace personnel. Et gare à qui ne leur sourit pas assez en leur disant bonjour. Saviez-vous que les tanuki ont des crocs et des griffes ? Anko n'a pas d'enfants mais réserve des trésors de maternité à ses préférés. Tous les élèves du club cuisine ont droit à cette attention parfois un peu étouffante – omg, Anko, arrête de te transformer en fille de ma classe ! - mais qui se veut, au fond, bienveillante.
Au fond, hein. Faut bien gratter la croûte. Mmh, pâté en croûte…



HISTOIRE :
Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~ TkJ2qzZ
Anko est née au Japon et elle ne tient pas forcément à ce que vous en sachiez plus. Pour les besoins du présent formulaire, nous allons essayer de vous en dire davantage.

Anko est née au Japon, à la pointe sud de l'île de Shikoku, il y a de cela une vingtaine d'années. (Une vingtaine, ou peut-être vingt-cinq, ou peut-être trente : Anko a décrété qu'elle aurait éternellement entre seize et dix-sept ans). Elle est née dans ce qui reste des grands bois qui recouvraient autrefois l'île et abritaient un grand nombre de ses congénères. Son clan lui a longuement parlé de ces jours glorieux où ils ne dépendaient pas des revenus générés par leurs casinos et leurs distilleries pour survivre. Toujours se cacher des forces de l'ordre, ne jamais garder le même visage, ne jamais dormir deux nuits dans le même trou. Et Anko était la seule – la seule petite, la seule, de toute sa portée, à avoir survécu plus de deux années, et sa portée était la seule que le clan avait accueillie depuis plus d'une décennie.

Parce qu'Anko était la seule et parce que les tanukis sont des animaux vivants en meute, son sort faisait l'objet de toutes les discussions. Il était évident qu'elle était la relève, la nouvelle génération, le fer de lance sur lequel s'appuierait le renouveau de leur clan. L'argent des paris lui payerait une éducation, une carrière, une place dans la société humaine dont elle se servirait pour, à son tour, améliorer la vie des siens. Ah ! L'enfer n'est-il pas pavé de bonnes intentions ? Les parents ne sont-ils pas toujours en désaccord avec leurs enfants ?
Anko, petite, aimait courir, sauter, jouer, se salir et se bagarrer. Elle aimait, par-dessus tout, vivre en forêt. Mais pour tous ces tanukis soucieux de l'avenir de leur race, c'était en ville qu'il fallait l’élever. Et en ville elle partit. Elle était toute jeune, elle ne s'en souvient plus très bien. Mais la ville l'ennuyait. Ses parents la tenaient constamment transformée et lui imposaient un comportement de petite fille humaine. Des robes, des poupées, des dessins. Anko ne voulait rien de tout cela. Elle voulait courir, aboyer, s’essouffler en descendant les collines.

Ce ne fut pas une enfance heureuse. Ses parents n'étaient pas heureux. Anko n'était pas heureuse et, par conséquent, personne autour d'elle ne l'était non plus. Il fallait lui apprendre à contrôler son pouvoir, mais pas trop, de peur que la directrice de la garderie n'appelle en demandent pourquoi les petits camarades d'Anko-chan se retrouvaient maintenant avec des limaces à la place de leur goûter. Ce n'était que le début. Petits larcins, délinquance juvénile, jeux d'arcades, alcool et bagarre : à treize ans, Anko était incontrôlable. Elle utilisait son pouvoir pour tout, mais jamais à bon escient. Elle aimait par dessus tout voler et arnaquer les plus faibles. Pliant ses parents à sa volonté en les menaçant de révéler au monde leur vraie nature, elle était devenue un tyran. (Elle faisait, en tout cas, preuve de l'implacable résolution que son clan voulait voir naître en elle).  

On ne sait pas trop ce qui s'est passé après. On pense qu'une rencontre a changé sa vie et sa perception des choses ; mais que ce soit un vieux pêcheur ou un épisode de Gordon Ramsay, Anko décida brusquement qu'elle savait ce qu'elle voulait : devenir cuisinier. A partir de là, tout devint tout de suite plus simple. Anko quitta le collège et entra dans une école spécialisée. Ne supportant toujours pas l'autorité, elle la quitta trois mois après et décréta ne pas rentrer avant d'avoir trouver un travail dans ce qui était devenu la branche de ses rêves. On la prit comme plongeuse, on la renvoya quand elle s'engueula avec un client deux heures après. Pas grave, elle essaya ailleurs. Encore et encore. Jusqu'à ce qu'elle apprenne, petit à petit – à dire bonjour, au-revoir, s'il-vous-plaît, merci. A se laver les mains. A cuire la viande selon les désirs du client. Parce que la cuisine ne montre que la vérité ; on peut déguiser une assiette tant qu'on le voudra, le palet, lui, ne mentira pas.  Ce qui se passe en cuisine n'a aucune incidence, aucun intérêt. Les gens ne portent attention qu'au résultat. Ainsi, la cuisine est à la fois l'opposé et le miroir de tout ce qu'est Anko.

Les années passèrent et Anko coupa les ponts avec les Bake-danuki de Shikoku. Elle ne serait jamais chef de clan mais elle ne serait jamais humaine, non plus. De déceptions amoureuses en expulsions en licenciements, Anko se mit à boire, de plus en plus souvent. Elle n'avait personne à qui parler, personne devant qui relâcher la pression. Personne pour voir qui elle était vraiment, avec les grosses oreilles, la queue poilue et tout le reste. Personne avec qui courir dans les hautes herbes, bien qu'elle alla parfois chercher le bâton que lui envoyaient les enfants du quartier. La solitude, lentement mais sûrement, finit par la consumer.
Elle était ivre quand elle arriva à Alaria. Elle en avait entendu parler par une serveuse qui avait couché avec un type qui lui avait dit avoir un frère qui avait un jour emmené quelqu'un qui venait de là-bas. Elle est partie comme ça, sur un coup de tête. C'était un coup de chance qu'Abberline recherche un commis de cuisine à ce moment-là. Elle aimait l'idée de ne plus avoir à être tout le temps déguisée. Elle aimait les gamins, ils lui rappelaient ce qu'elle aurait pu être.  Elle ne voulait pas les voir descendre sur la même pente qu'elle avait dévalée de tout son long. Alors elle a retroussé ses manches et elle s'est mise aux fourneaux.

Peut-être que rien n'attend Anko. Peut-être qu'elle est amenée à rester, pour le restant de ses jours, la dame de la cantine complètement bizarre qui fait un peu peur, sauf si on fait partie de son club. Peut-être que personne ne l'aimera plus jamais. Peut-être que personne ne la prend au sérieux quand elle fait les yeux doux à un beau mec qui passe, bien costaud, bien poilu. Peut-être. Elle s'en fiche. Il est onze et demi. Le premier service arrive d'ici dix minutes et le soufflé vient à peine de s'élever à la hauteur optimale. Les flammes lèchent les marmites et il règne en cuisine une agitation proche de l'hystérie collective. Anko reste dans son coin et fume une cigarette à la fenêtre, en tapotant du pied au rythme d'une chanson qu'elle a entendu il y a des années. Avec ou sans elle, le monde continue de tourner. Il fait super beau, aujourd'hui, et y a du sake au frais.


Derrière l'écran

PSEUDO : Tsukikage
ÂGE : Je suis née pendant la guerre froide ! :D
COMMENT ÊTES VOUS ARRIVÉ ICI ? J'y étais déjà.
UN PETIT AVIS : Vous êtes tous beaux et mignons, je vous aime.
DES SUGGESTIONS ? Ne changez pas ;)
UN MOT POUR LA FIN : Je suis donc le DC de Seiichi Hasegawa !
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6E ANNEE ◊ KRAKEN
Aria E. Grey

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6E ANNEE ◊ KRAKEN


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MessageSujet: Re: Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~   Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~ EmptyLun 20 Avr - 13:03

Bienvenue !! j'adore les illustrations de la fiche au passage **
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7E ANNÉE ◊ KRAKENFONDATRICE
Howl Baxter

Howl Baxter
7E ANNÉE ◊ KRAKEN
FONDATRICE


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MessageSujet: Re: Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~   Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~ EmptyLun 20 Avr - 15:24

Félicitation !


Tu es officiellement validé ! Sans surprise, c'est un fiche magnifique. Fidèle à toi même, un personnage très intéressant, très attachant, vraiment vraiment chouette \ô/. Et au risque de me répéter, j'adore te lire, c'est très agréable et on entre très rapidement dans l'ambiance. *lance des confettis*

Je t'ajoute ta couleur, ton rang et ton pseudo dans le club de cuisine, et te met les petits liens rapides ici ! Amuse toi bien avec ce tout nouveau perso  :keur:

Bottin des avatars
Recensement des pouvoirs/races
Demande de logement
Carnet de bord
Défis et quêtes

Bon jeu sur le forum !
MODERATION
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https://goldfish-c.forumactif.org

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MessageSujet: Re: Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~   Anko KOBAYASHI | さ! おどりましょう~ Empty

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