ÂGE : 17 ans
SEXE : Masculin
NATIONALITÉ : Américain

MAISON : A vous de décider !
ANNÉE : Cinquième année (entré à ses 12 ans)
MATIÈRES FACULTATIVES : Sport, arts.
RACE : Phénix (basé sur les légendes Amérindiennes, le protecteur des peuples).
ORIGINES : Héritier

CARACTÉRISTIQUES RACIALES : Il peut prendre la forme d’un grand oiseau de feu. Cet élément ne lui cause donc aucun mal et jamais sa peau ne sera brulée par le soleil ou bien par la flamme elle-même. Sa puissance est au plus haut quand le soleil est présent dans le ciel, c’est pourquoi les éclipses solaires rendent la race vulnérable, tout comme la nuit qui le rend plus faible. S’il ressent parfaitement la douleur et la souffrance, le Phénix possède cependant un pouvoir d’auto guérison, renforcée par l’astre solaire, assez puissant. Cela peut prendre plus ou moins longtemps, mais ses blessures guériront d’elles-mêmes. On dit qu’ils renaissent de leur cendre lorsqu’ils meurent… Mais il n’a jamais tenté l’expérience à vrai dire… Il n’a pas envie de courir le risque. Si ça se trouve ce n’est qu’une légende.

POUVOIR ACTIF : Jo’ maîtrise l’élément du feu. La pyrokinésie. C’est une maîtrise qu’il pratique grâce aux impulsions et aux mouvements de son corps qui sont fortement influencés par ses émotions. Etant une personne très émotive et impulsive, il lui arrive de provoquer des accidents en lâchant du feu sans vraiment le vouloir, juste parce qu’il ne sait pas encore rester maître de lui. Il arrive à produire une grande quantité de flammes, sans pour autant qu’elle ne soit très puissante pour l’instant.

Les mouvements utilisés pour la maîtrise du feu adoptent des postures larges, des déplacements amples, des techniques qui s'enchaînent sans temps mort, la force alternant à la souplesse à l'instant de l'impact. C’est pourquoi il faut avoir une bonne condition physique afin de pouvoir bien gérer cet élément. Jordann étant encore très maladroit, il a du mal à gérer tout cela. L'accent est mis sur la coordination des mouvements avec la taille. La respiration est essentielle pour cette maîtrise… Il faut vraiment s’entraîner durement !

DESCRIPTION GLOBALE : C’est un petit con d’un mètre soixante dix. Il n’est pas le plus grand des mecs, mais il est persuadé qu’il va encore grandir et atteindre au moins les mètres quatre-vingt. Oui, nous sommes tous au courant qu’il peut toujours rêver, mais laissez le y croire, il sera plus facile à vivre. Jordann, c’est la provoc, c’est les cheveux rasés sur le côté, tirés en arrière ou laissés fous, noirs comme le jais, c’est des yeux de feu qui s’illuminent quand il s’énerve, c’est les piercings, à la langue, la lèvre, le nez, l’arcade et aux oreilles essentiellement, c’est les tatouages, un long serpent qui part de sa nuque pour s’enrouler tout autour de son bras, et c’est surtout, une phrase très très con sur son bas ventre : « It won’t suck itself » je vous laisse analyser cette phrase hautement littéraire : oui, Jordann est la connerie adolescente dans toute sa splendeur, le genre de mec qui est persuadé que s’il fait ça, il ne le regrettera jamais, parce que c’est teeeeellement cool. Ah et il a la peau très chaude naturellement, sûrement grâce au feu qui bouillonne en lui.

Jordann, c’est aussi l’impulsivité exagérée, le mec qui cherchera l’embrouille là où n’y en a pas, qui se prendra pour un boss alors qu’il n’en est pas un, qui se croira toujours plus fort qu’il ne l’est. Vous savez c’est comme les Jack Russel, ils sont persuadés d’être aussi fort que des Pitbulls… Alors qu’ils ne sont que des rats. Des simples petits rats, qui aboient plus qu’ils n’agissent. Mais Jordann, c’est aussi un mec qui a peur du jugement, qui a peur d’être exclu et qui fera tout pour être bien placé. Être avec les gens « cools » les gens qui sont populaires et monter lui aussi dans la classe sociale. C’est un profiteur, un opportuniste, il ira là où ça lui apporte le plus. Il veut être reconnu et aimé, il veut juste être quelqu’un une bonne fois pour toute, autre chose que « Le boulet de service ». Jordann, c’est le mec autodestructeur, qui pètera un câble pour rien, et qui fera tout pour pomper votre énergie jusqu’à la moelle juste pour obtenir ce qu’il veut.

Pourtant, il sait se poser, il aime le sport, pour se défouler et apprendre à contrôler ses émotions, il adore l’art aussi, pour se détendre, il n’a aucun talent particulier là dedans, s’il devait choisir, c’est la sculpture et la peinture qu’il préfère. C’est pas spécialement beau ce qu’il fait, mais ça le détend et puis, quand il fait quelque chose, il se donne tellement à fond, qu’on ne peut qu’être touché par sa production. Parce qu’au final Jordann, c’est le gars qui va vivre à 100%, chanter à tue-tête alors qu’il ne chante pas spécialement bien, c’est le premier qui va dandiner son cul en entendant une musique mais qui va s’arrêter d’un coup l’air de rien parce que personne ne le suit.

C’est le mec qui se haït lui-même au point de se faire du mal parce qu’il s’est –encore- humilié en public, alors pour ça il doit « purger » sa connerie et pour ça il fait des choses que peu apprécient. Une petite lame, une petite coupure, pas grand-chose, mais ça fait du bien, et puis de toute façon, ça se referme très vite et il n’y aucune trace… Oui parce sa peau, c’est une peau de bébé qui cicatrise très rapidement… Alors plus rien ne compte à ce niveau là.
Pour lui le pensionnat c’est une immense cours de récréation où il s’amuse sans cesse. Il veut en faire son terrain de jeu et en ressortir comme le roi. Ce ne sont que des fantasmes d’adolescents, car tout le monde sait qu’il est aussi invisible qu’un autre au milieu de ces couloirs…

HISTOIRE : Si vous le lui demandez, Jordann vous dira qu’il est né au cœur d’un volcan en éruption, et que Dieu, par peur de son grand pouvoir et par peur qu’il ne détruise l’humanité, l’a recueillis dans sa cité des anges pour l’élever comme un protecteur de la race humaine. Le Phénix, ou l’Oiseau Tonnerre selon les cultures Amérindiennes, est présent pour jouer dans l’équilibre de la vie, et protéger tous les humains des dangers.
Que ce soit vrai ou non, ce sera la seule version du début de vie que vous expliquera l’Affreux Jojo à son sujet. Ce qui se passa réellement… Est tout autre.

Ce qu’il faut vraiment noter c’est que Jordann n’a jamais connu ses parents. On ne sait pas vraiment où son œuf a éclos, si ça se trouve l’histoire du volcan est vraie. Mais attention ne tombons pas dans le cliché du pauvre orphelin sans amour et sans aide dans la vie : le système est bien fait, étant un magnifique petit bébé aux yeux étrangement marron-rougeâtres, il fut rapidement adopté par un gentil petit couple du nord des Etats-Unis. Cette famille composée de Donoma, une magnifique jeune femme malheureusement déclarée stérile très jeune suite à un accident qui nécessita qu’on lui enlève l’utérus, et de Cody Reeves, un père aimant aux yeux et cheveux sombres, travaillant dans un cabinet comptable. C’est donc dans un très joli pavillon d’une petite ville d’Amérique du Nord que Jordann grandit, fit ses premiers pas, ses premières cascades et surtout ses premières bêtises.

Il était du genre à vouloir être ami avec tout le monde. Si le fait d’avoir été adopté n’avait été un secret pour personne, Jordann ne s’en est pas plus formalisé que cela. Il avait soi-disant un besoin constant de reconnaissance, mais personne ne lia cela au fait qu’il était orphelin. Qui le ferait ? Il aime juste être remarqué. C’est pourquoi depuis très jeune, il rit et parle très fort, s’exprime de façon impulsive, et n’hésite pas à pousser les autres enfants sur son chemin pour arriver le premier à la cantine. Oui parce que manger, c’est vital, c’est important, c’est le moment le plus important de la journée du Jojo. Ne lui faites pas manquer un repas où vous êtes certains de l’avoir d’une humeur tout à fait affreuse pour le reste de la journée.

A l’école, il était l’élève qu’on apprécie parce qu’il est toujours là à participer, il n’a pas forcément raison mais son sens de la répartie et ses répliques faisaient toujours rire les maîtresses. Il n’était pas autant apprécié à par les élèves parce qu’au foot il se la jouait solo, qu’à la marelle qui poussait les filles pour aller plus vite qu’elles, et au jeu de la balle au prisonnier il visait toujours la tête pour être certain que l’autre était réellement mis K.O. C’était juste un enfant qui prenait un peu trop au pied de la lettre ce qu’on lui disait, ne laissant pas de place au second degré.
Heureusement, il y en avait certains qui étaient plutôt gentils avec lui. Surtout ce gars aux cheveux foncés, on aurait dit qu’ils étaient un peu bleu au soleil, c’était bizarre, mais lui il l’aimait bien. Au début, ils ne se parlaient pas trop, ils se voyaient juste dans la cour de récréation. Et en vrai, au tout début, ils se détestaient, parce que Jordann était le petit merdeux qui voulait jouer au grand. Mais un jour en rentrant de l’école ils se sont rendus comptes qu’ils faisaient le même trajet, et pour dire : c’était son voisin d’en face.

Ils finirent par se parler le soir en rentrant de l’école, sans la pression du monde autour de lui, Jordann était plus calme et plus naturel. Par la suite, les deux gamins devinrent très bons amis. Enfin, surtout Jordann, il était très collant et envahissant, malgré les repousses de ce pauvre autre garçon, Nüyati, il avait un drôle de pouvoir sur l’enfant turbulent, il semblait l’apaiser un tant soi peu. La maman de Jordann et la maman de son copain sont devenues amies aussi à cause de cela, et quand l’une rendait visite à l’autre, vous pouvez être certain qu’un gamin se trouvait dans ses jupes pour aller voir son grand copain. Ils jouaient à tout et n’importe quoi, mais le fait d’être un peu bourru ne semblait pas blesser son ami, alors il se sentait bien plus à l’aise. Il était plus vieux que lui, mais il ne semblait pas que cette différence d’âge soit très importante.

Puis il y a eut la découverte du don si l’on peut appeler ça comme ça. La première fois, il était seul chez lui et c’est toute sa main qui s’est enflammée, le bout de ses doigts formant des plumes rouges orangées. Paniqué, il a plongé sa main dans l’évier afin d’éteindre tout cela, et il n’en a parlé à personne, pas même à ses parents. Non, la première personne qui fut au courant fut son meilleur ami, son frère. Nüyati. C’était dans la cour de récréation, ils n’étaient pas ensemble en cours étant donné que Nüyati étant dans une section plus grande que la sienne, il lui a murmuré de venir et après s’être entraîné toute la nuit, il avait fièrement claqué des doigts devant lui pour faire apparaitre une petite flammèche ridicule sur le bout de son doigt. Son grand copain écarquilla les yeux et trouva cela VRAIMENT trop cool ! Le hasard fit bien les choses parce que ce jour là son ami lui montra de drôles de trucs sur ses coudes, comme des sortes d’écailles toutes dures et bleues. On aurait dit qu’il devenait un serpent !

Rapidement, Jordann s’imaginait des tas de choses ! Ils deviendraient des super-héros ! Comme Batman et Robin…. Même si Catwoman irait mieux à Nüyati. Mais tous deux étaient nuls, et ils n’arrivaient à rien avec ces nouvelles compétences secrètes qu’ils ne savaient pas contrôler.

C’est un jour, alors qu’il était rentré à la nuit tombée, à l’aube de ses douze ans, il n’avait pas vu l’heure passer alors qu’il jouait dans la rue avec son grand copain. Son père était furax, il lui a fait le plus grand remontage de bretelles de sa vie, sur le respect des parents, sur son avenir, sur les responsabilités qui l’incomberait plus tard… Bref vous voyez le topo ? Le genre de truc qu’un gamin de 12 ans adooooore recevoir. Il s’est énervé, pour la première fois contre ses parents, pour lui, la faute n’était pas si grave, et en tapant du poing contre la table, une flamme plus grosse que d’habitude s’échappa, brûlant en partie le meuble. C’est là que le jeune garçon compris que cette chose se contrôlait avec ses émotions. Les parents furent choqués, effrayés, et logique infaillible de parents coincés : ils décidèrent de tous aller se coucher parce que la nuit porte conseil et que le lendemain ils sauraient quoi faire avec ce problème.

C’est donc tout perturbé que notre Affreux Jojo dû se coucher. Il passa une nuit pleine de cauchemars, à se tourner et se retourner dans son lit, il sentait une chaleur étrange l’envahir avec la colère et l’incompréhension qu’il ressentait vis-à-vis de ses parents. Ils ne comprenaient pas qu’il était un héros ! Qu’il était unique en son genre ! Qu’il pourrait contrôler le monde ! Plus son cauchemar avançait, plus la chaleur montait. Au final, ce sont des cris qui le réveillèrent. Son corps entier était fait en flamme, et ses bras se recouvraient peu à peu de plumes de feu, ses vêtements avaient brûlé, son lit était en sale état, et la suite fut…. Très mouillée. Son père avait couru pour aller chercher le tuyau d’arrosage et avait littéralement noyé la pièce.

C’est le lendemain de cet évènement que l’Oracle se présenta à la famille Reeves. Une famille qui n’avait pas dormi, avec des parents qui avaient posé une journée de congé pour parler de cette affaire et surtout faire en sorte que cela ne s’ébruite pas. Pourtant Donoma, sa mère lui avait dit à Jordann qu’il était un garçon spécial, qu’elle sentait en lui l’aura d’un grand dieu puissant. Il y avait cru le pauvre garçon… Tout ce que son père voyait c’était une nouvelle source d’ennuis et de perte d’argent. Aussi quand l’Oracle proposa de l’emmener dans une école spécialement pour lui, ils acceptèrent sans marchander, ils pensaient tout de suite que c’était le mieux pour lui. Mais pour Jordann, c’était un monde qui s’effondrait.

Et Nüyati ? Il ne cessait de se le demander, il pourrait venir lui aussi ? On ne lui laissa malheureusement pas le temps de voir son ami. Et c’est sans un mot pour lui qu’il dû partir. Cependant, pendant la route, il fut sûrement l’enfant le plus agaçant du monde, à demander sans arrêts où ils se rendaient, à demander ce qu’il allait advenir de lui, à savoir les goûts de l’oracle et s’il aurait le droit de manger un cheeseburger parce qu’il avait faim. Et surtout, surtout, il parlait sans cesse de Nüyati. C’est peut être ça qui mit la puce à l’oreille de l’Oracle.

Arrivé à l’école, il intégra la maison du Dragon après avoir passé un test bien étrange dont il ne compris pas grand-chose, il su juste qu’il devait poser ses affaires là et puis c’est tout. Au début il fut calme, du moins les deux premiers mois qui lui parurent être les mois les plus longs de toute sa vie. Il était seul, il ne cherchait pas tant que ça à se lier, il préférait d’abord en apprendre plus sur ce qu’il était et sur ce qui l’entourait. C’est en faisant des recherches plus approfondies sur ses origines et avec l’aide d’un professeur qu’il apprit qu’il était un phénix… Et autant vous dire tout de suite qu’il s’est tout de suite pensé digne d’un dieu.

Quand son grand poto arriva à son tour dans l’école le mois d’après, il reprit ses habitudes, son caractère se forgeant de plus en plus, il aimait se la raconter, tout faire pour devenir populaire, coller un maximum les gens qu’il jugeait important et essayer de se faire une réputation. Au final, Jo’ a une réputation de gentil boulet maladroit, parfois un peu hautain mais pas méchant. Fonceur et borné. A l’école, il n’a pas de bonnes notes dans les matières où il faut réfléchir. Cependant il est l’un des meilleurs dans les cours qui requiert son corps. Comme le sport en fait…. Et essentiellement que le sport.
Sinon dans la vie de tous les jours il est du genre à faire plein de petites bêtises de par son insolence naturelle et son énergie débordante. Mais il ne fait pas vraiment ça volontairement, c’est son caractère qui le rend aussi… Insupportable.

Voilà cinq ans qu’il est dans cette école maintenant. S’il a appris à se contrôler un peu mieux, il n’est pas encore parfait car trop instable émotionnellement… Il arrive encore qu’il brûle des choses qu’il ne faille pas de temps en temps.

PSEUDO : Jojo.
ÂGE : 20 ans.
COMMENT ÊTES VOUS ARRIVÉ ICI ? J’ai posté une demande de partenariat en disant que je vous aimais beaucoup… Puis j’ai craqué en fait. xD
UN PETIT AVIS : Comme déjà dis dans la demande de partenariat, un design très moderne et esthétique, simple, épuré tout en étant coloré. Il est travaillé tout en restant « simple » on s’en prend plein les yeux sans faire d’overdose.
Au niveau du contexte, on peut avoir peur, que ça parte dans tous les sens parce qu’on peut jouer tout et n’importe quoi, mais au final tout est très bien encadré par le fait qu’il y a de nombreuses règles qui empêchent ainsi les débordements, et c’est très bien ! ♥
DES SUGGESTIONS ? Hmm pas vraiment, attention aux widgets, qui peuvent empêcher la navigation sur les petits écrans ou téléphones… Mais je m’en fiche j’ai un grand écran perso donc… 8D
UN MOT POUR LA FIN : Chocoballs.