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 My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée]

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MessageSujet: My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée]   My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée] EmptyMer 15 Oct - 1:58

Annie Kusanagi



Identité

ÂGE : 19 années.
SEXE : Femme.
NATIONALITÉ : Franco-japonaise.

ANNÉE : 1ère année.
MATIÈRES FACULTATIVES : Musique - Sport - Arts.
RACE : Descendante/Personnification de Kusanagi un sabre genre l'idée de merde t'sais /out/
CATÉGORIE : Inclassable.

POUVOIR ACTIF : Son seul pouvoir, pour le moment, est celui d'un Oracle lambda, un don qui s'est révélé il y a peu, elle ne le contrôle qu'un minimum. Il s'est révélé il y a quelques jours, en même temps que cette étrange sensation de manque et cette intolérance extrême envers l'eau de mer, faisant rouiller sa peau à son contact. En convalescence, elle s'est retrouvée avec le signe de la lame, comme marqué au fer rouge, dans son dos. Le sabre de Kusanagi a été sorti de la queue de Yamata no Orochi par Susanoo dans la légende nippone, peut-être cela explique-t-il les quelques écailles qui commencent à recouvrir sa blessure ?


votre personnage

DESCRIPTION GLOBALE : Annie, à première vue, c’est une fille normale, mignonne sans être parfaite. Annie, en seconde vue, c’est toujours une fille normale, aux formes bientôt d’adulte, et au côté métissé plutôt exotique. On ne croirait pas voir une japonaise aux cheveux blonds et aux yeux bleus, doit-on remercier le père ? Certainement.

Annie, c’est une fille à la taille de guêpe, qui lève toujours les yeux pour regarder les vôtres, qui sourit intimidée, quand elle fait face à des géants. C’est la fille qui se met toujours sur la pointe des pieds pour arriver à l’étagère du haut, qui est obligée de monter sur le plan de travail pour attraper un verre du bout de ses longs doigts.

Annie, c’est la blessée dans le coin de l’infirmerie. La demoiselle qui regarde par la fenêtre quand on panse son dos. Elle est fragile Annie, toujours en convalescence, prête à se casser au moindre mouvement. Ça n’arrange pas un accident, ça brise un esprit comme un corps. Annie est toujours couverte d’hématomes, Annie se déplace avec une béquille, Annie commence sa kinésithérapie. Son dos lui fait mal, autant que sa jambe dans son atèle. Heureusement que cette dernière n’est que temporaire, au contraire de la première. Annie est obligée de se faire poser de la pommade et un pansement, Annie ne peut toujours pas courir et se pencher sinon ça saigne, ça saigne trop, ça pique, ça mord la chair et ça la fait pleurer. Annie hait pleurer, Annie déteste se montrer aussi faible dans un lieu qui la perd déjà beaucoup trop…Alors les gestes d’Annie ne sont jamais violents, presque hésitants. Quand elle enfile un haut, l’oiseau inscrit dans sa chair, une chair commençant à devenir écailles, tu peux voir ses doigts qui tremblent tant ils essaient que la fibre du vêtement n’attaque pas la chair en réparation. Annie a peur d’avoir mal, comme tout humain, n'est-ce pas ?

Annie, c’est la demoiselle du coin de rue, qui sourit naturellement, sans faux semblants. Annie, ses yeux en amandes ne cachent ni manipulation ni haine, ils sont bleus, parfois indigo la nuit, quand les gens biens comme toi sont endormis. Ils gardent quelques nuances occidentales, agrandis par son visage ovale et ses cheveux blonds. Ces derniers sont lisses, quelque nœuds le soir dénotent dans sa frange qui cache son haut front. Néanmoins, elle aura beau faire, ils ne cacheront jamais ses oreilles pointues, la faisant passer pour un lutin des bois. De toute manière, elle ne le cherche même pas.

Annie, c’est surtout la fille qui parait ce qu’elle est, qui ne peut cacher ni sa tristesse ni tout autre sentiment, mais qui essaie ardemment, ô…Ardemment de porter son sourire le plus longtemps. Annie, c’est la demoiselle qui aimerait porter des talons et beaux vêtements, c’est l’ingénue qui ne sait rien du monde à part dans les livres. Annie, c’est l’empathique aux sentiments aussi emmêlés qu’une pelote de laine et aux joues roses pour le moindre compliment. C’est qu’elle ne connaît rien Annie, rien d’ici ou de là-bas, elle parait faible et si facile à abattre. Et pourtant…chacun cache ses surprises, tu pourrais la blesser qu’elle te rendrait l’appareil, tu pourrais lui dire que ses dessins sont laids ou qu’elle aura beau faire, sa voix ne sera jamais chantante, elle continuera à faire des efforts. C’est Annie ; un trop plein de force d’esprit dans un corps affaibli. Une jeune femme qui tient un chat aussi blessé qu'elle entre ses bras croisés.

Annie est une curieuse, Annie est un peu trop bavarde, Annie dit les choses comme elle le sent, Annie est idiote, Annie est affectueuse, Annie est manipulable, Annie est bornée, Annie est sensible, Annie veut savoir, tant savoir, Annie est cassable, Annie est émotive, Annie veut te connaître, Annie a le don de te poser les questions qui te fâchent et te font crier, car elles font mal, car elles touchent ce qu'il ne faut pas toucher car Annie a un don pour ça, Annie est humaine…

Car Annie pleure des larmes de douleur et de joie quand tu lui tends un pain au chocolat.


HISTOIRE : Quand j’ai ouvert les yeux pour la première fois, il m’attendait là deux pains au chocolat. Quand je les ai ouvert la seconde fois, une enfant les tenait entre ses petits doigts. On se ressemblait, elle et moi, cheveux dorés, yeux embués. Elle a ouvert ses lèvres gercées tandis que la main d’une femme prenait la mienne pour mieux la serrer.

« An…nie… »

Des sanglots d’enfant, qui se perdent dans le temps. Je ne la connais pas, mais je caresse d’une main fatiguée ses cheveux bouclés. Elle non plus ne me connaissait pas, mais nous nous aimions déjà. La dame, c’est ma mère, elle pleure aussi, et derrière, c’est mon père. Il s’efforce de contenir ses larmes. C’est tout rose tout dégoulinant d’émotions, et j’ai beau me dire que c’est un peu ridicule, je ne peux m’empêcher de pleurer moi aussi. La demoiselle ? Une petite sœur, qui me tenait très à cœur.

Je suis tombée dans les escaliers, il y a de cela sept années, je me suis réveillée à quinze ans, durant ce bel été.

Mes jambes ne marchaient plus, ma voix s’était enraillée, mais mon cœur battait toujours et j’étais enfin réveillée. Le choc, en ayant raté ce temps, en découvrant mon corps si différent, la naissance d’une sœur qui n’a cessé de venir avec ses deux pains au chocolat, chaque week-end durant, pour me raconter sa vie d’enfant. Aujourd’hui, je mange ce pain au chocolat et depuis, elle a perdu du poids. Son nom ? Carmen. Carmen aux yeux bouffis par un trop plein de larmes et de peine.

___________________

Ta mère ne te l’a jamais dit, jamais murmuré, cette histoire, cette légende, cette lignée. Ô ! Elle te l’a raconté, comme une maman à son enfant, un conte susurré. Celui d’une lame sortie de la queue d’une ignoble bête, celui d’un sabre devenu humaine un simple instant, pour espérer. Oui, ce conte d’une épée tombée amoureuse d’un homme et qui a enfanté une lignée, pour mieux redevenir l’objet légendaire qu’elle était, pour mieux être perdue dans les eaux pour l'éternité. Mais ce que ta génitrice ne t’a jamais appris, Annie, c’est que c’était ta lignée, et que chaque porteur de cette partie de l’épée se devait de retrouver sa moitié…Oui, c’est ça ce manque au fond de toi, et depuis que tu es là, dans cette infirmerie, à regarder le ciel la nuit, tu sais que tout ce que t’as raconté ta mère était pour te former au rôle que tu devais porter. Tu devras t’entraîner, retrouver les pleines capacités de tes jambes, avoir de l’endurance et croire, toujours croire. Annie, tu aimerais tant revenir en arrière, au moment où tu ne regardais pas ton petit pied glisser sur la marche de l’escalier…

___________________

Mes yeux regardaient autre part. Nulle part. J’avais délaissé la toile sur laquelle j’aimais peindre de mes doigts. Une toile à moitié construite, révélant le regard crédule de Carmen. Je gardais le silence, trop fatiguée, trop essoufflé, trop effondrée. La demoiselle me regardait avec tristesse, et je n’osais pas lui faire face.

« Annie… »

J’aurais aimé sortir dehors, j’aurais aimé courir à en perdre haleine, l’observer à sa remise de diplôme, découvrir la ville, la plage, et d’autres pays. Pouvoir aussi me faire des amis, pouvoir ressentir, pouvoir sortir, juste sortir de cette chambre, de ce petit parc dont je connaissais chaque brin d’herbe. Mes doigts tachés de peinture se serrèrent dans ma paume. Fardeau. Je ne serais qu’un pauvre objet lourd, aux capacités réduites, à cause d’une stupide marche d’escalier.

« C’est parce que tu ne pourras plus courir que tu pleures ? »

Elles coulèrent encore plus ces larmes sur mes joues, autant que la pluie torrentielle malmenée par le vent aux alentours. Je me sentais pathétique, d’être aussi faible devant ma petite sœur. Pathétique. Je m’étais battue pour pouvoir enfin me tenir debout, pour enfin pouvoir me tenir aux côtés de ma petite sœur et accomplir quelque chose dans sa vie. Mais rien y faisait, je ne pourrais pas courir, je ne pourrais pas marcher toute une journée, pas même faire une randonnée. Et moi qui n’avait jamais prévu un tel exercice…Je me surprenais maintenant d’en avoir l’ignoble envie.

« …Annie ? Je peux faire quelque chose ? »

Je sentais sa main sur la mienne et je l’ai serré fortement. J’avais réussi à retrouver mes jambes, à marcher, je pouvais respirer, je pouvais me rouler par terre, je pouvais faire tomber des verres, mais courir…Je ne pourrais plus. Plus jamais. Et comme d’habitude, je m’obstinerais à tenter et je tomberais, et j’aurais honte. Tellement honte. Aussi honte qu’en cet instant, où je devrais montrer l’exemple à ma sœur, au lieu de pleurer sans savoir comment m’arrêter…Mais ça faisait si mal, si mal de savoir que rien ne reviendrait à la normale.

« Un pain…au chocolat... »

Je ne pus terminer ma phrase, par peur de lâcher un sanglot. J’imaginais la scène, certes idyllique mais enviable. Juste chanter avec ma sœur après un dur entraînement dans notre école respective, chanter sur scène et peindre dans la salle, se tâcher, s’engueuler pour une toile déchirée et mieux lui tendre un pain au chocolat pour m’excuser. Comme si un pain au chocolat pouvait tout résoudre.

Carmen le croyait.

« Carmen ? »

Quand je me suis retournée, il n’y avait plus personne. Je l’ai de nouveau appelé, sachant très bien où elle était passée. Mon cœur s’est serré : elle avait certes dix ans mais elle en avait toujours six dans ma tête. Je suis sortie, remarquant son manteau absent, je suis sortie de ma chambre, frôlant les murs pour éviter les infirmières et pressant le pas en espérant la rejoindre avant qu’elle ne sortit de la bâtisse.

Il pleuvait plus encore qu’avant, et l’eau était glaciale. Le vent me coupait la respiration tandis que je plissais les yeux pour repérer ma petite sœur dans l'environnement automnal. La boulangerie était juste en face. Et avec cette visibilité…Je vis une ombre traverser en courant le passage piéton.

« Carmen ?! » criais-je pour qu’elle m’entende.

Elle se retourna. Peut-être était-ce un réflexe d’enfant que de fuir quand on lui criait dessus, peut-être voulait-elle terriblement me rendre le sourire…Quoiqu’il en soit, qu’importe que ce ne fut pas son tour, je maudis le code de la route. J’aurais aimé que le rouge soit en réalité le vert, qu’elle passa en toute sécurité. J’ai couru après elle, un camion accélérant sans se rendre compte de la présence humaine. J’ai couru à en perdre haleine, qu’importe que le médecin me l’ai interdit. J’ai couru, et je suis tombée. J’ai attrapé ma sœur dans mes bras, je l’ai protégé de mon corps en la serrant aussi fort que possible.

« CARMEN ! »

Mais j’espérais quoi au juste ? La protéger, simplement. La protéger de la vie en elle-même, de ses futures peines comme de ses anciennes blessures. Je ne voulais pas la perdre, je voulais la garder intacte et vivante, elle, elle et son sourire. Je sentis ma jambe craquer sous le poids du pneu freinant. Je sentis la fraîcheur du pare-choc contre mon épaule et tout mon corps commencer à se briser. J’aurais dû la pousser, j’aurais dû prendre sa place plutôt que de la vouloir dans mes bras. La douleur fut tellement sourde…J’ai hurlé à plein poumons, de désespoir comme de souffrance. Je ne vis pas le camion violemment se faire éjecter, un dôme doré à moitié brisé par la puissance du choc apparaître autour de nous, je ne ressentis que l’immense poids brûlant sur mon dos, arrachant ma chair en lambeaux.

Le Noir. Seulement le Noir.

___________________

Tu ne savais pas que la lame de Kusanagi avait cette particularité, personne ne te l’avait expliqué. Le désir de protéger, de se sacrifier était la clé. Désormais, tu étais devenue la nouvelle personnification de Kusanagi, tu devais le porter fièrement. Oracle tu es devenue, mais tu n’as jamais réussi à activer cet étrange dôme, tu étais juste…ce que tu comprenais être. Et quand tu as ouvert les yeux à Abberline, tu ne comprenais que ce que l'on t’expliquait. Candide que tu étais.

___________________

Un autre oracle était présent à mon réveil. J’avais l’esprit trop embrumé pour penser à Carmen, je me concentrais seulement sur les mots de cet homme pour ne pas sombrer de nouveau dans le noir. Abberline…Des gens comme moi…Oracle…Créatures…Tellement flou, si flou. Il posa sa main sur la mienne et je crois qu’il m’a demandé de me reposer. J’ai souri et je me suis assoupie.

Le lendemain, je me fichais bien du pourquoi et du comment de mon arrivée ici. J’avais été transférée le plus tôt possible dans cet établissement. Et je ne savais rien de l’état de Carmen. Ce fut ce qui m’a réveillé en pleine nuit. L’infirmière me demanda de me calmer.

« Où est Carmen ?! »
« Calmez-vous. »
« Je veux savoir si ma petite sœur va bien ! »
« Je ne sais pas mademoiselle… »
« Je…Je peux avoir un téléphone ? Appeler mes parents, juste… »
« Il n’y a pas possibilité de contacter l’extérieur. »
«  »
« Je suis désolée…S’il vous plaît, rendormez-vous. »

Aucun moyen ? Juste l’inconnu ? Et si Carmen n’avait pas survécu ? Et si elle me demandait ? Et s’il lui était arrivé la même chose qu’à moi ? Et nos pains au chocolat, qui les mangera avec moi ? Je me sentais sotte, à me poser cette dernière question, je retins des larmes de frustration. La frustration de ne pas savoir. La frustration de ne pas pouvoir.

J’avais eu de la chance ; ce que j’étais m’avait sauvé in extremis de la mort et surtout de la perte d’une jambe. Mais j’étais de nouveau clouée au lit, et cette fois-ci aucune friandise ou sœur ne venait m’apporter compagnie. J'avais une blessure grave au dos et des oreilles bien étranges. Je sentais juste mon dos me lanciner et je me posais diverses questions sur ce que j’étais. Mais ma mère m’avait montré la voie, et je savais désormais, ou en tout cas à moitié. Il me restait à découvrir le reste. Pourtant, ce n’était pas le plus important dans mon crâne. Je voulais Carmen, je voulais sortir de cette perdition et de cette angoisse grandissante : étudier à Abberline, étudier, moi…Avec d’autres gens. J’avais rêvé d’une telle vie, mais aujourd’hui j’avance à reculons, par peur de l’autre, par peur de moi-même.

Je mordais ma lèvre inférieure tandis que l’infirmière déposait de la pommade sur l’immense brûlure dans mon dos, elle qui devait s'occuper de mes diverses blessures de ce jour fatidique. Puis mes yeux furent attirer par le chat reposant dans un coin de la pièce. Ils l’avaient découvert trempé et frigorifié dans l’établissement. C’était l’autre pensionnaire permanent de l’infirmerie…Je suis allée le voir, puis il est venu me voir. Sa présence est rassurante, et malsaine aussi dans un sens.

Demain, je pourrais commencer cette scolarité. J’observais par la vitre le paysage d’Abberline. Le petit chat est allongé dans mes bras. On regarde par la fenêtre. Ma main effleure son pelage froid puis je pose mes yeux dans les siens et effleure son museau d’un doigt.

« Je crois qu'on est tout aussi perdu l'une que l'autre, Carmen… »

Et si je ne me plaisais pas ici ?...Je veux des nouvelles de Carmen, à tout prix.



Derrière l'écran

PSEUDO : Annie c'est bien 8D.
ÂGE : Bientôt 21 ans maggle !
COMMENT ÊTES VOUS ARRIVÉ ICI ? Via Top-Site.
UN PETIT AVIS : C'est beau, c'est chaud c'est...lavabo #blaguedeblonde
DES SUGGESTIONS ? Aucune, vraiment c'est sympathique et z'avez l'air sympathique ♥ Azi comment elle fait sa lèche-botte !
UN MOT POUR LA FIN : J'suis un peu fatiguée je m'excuse des fautes et...je me suis aventurée sur un chemin glissant vue l'idée que j'ai derrière la tête /dead/ Je pense contacter un admin histoire de présenter mon idée, rien d'incroyable bien sûr hein, mais avant de faire quoique ce soit et d'emmerder mon monde j'vais peut-être me renseigner hein xD J'enverrais un mp demain matin. #racontemalife.com


Dernière édition par Annie Kusanagi le Jeu 16 Oct - 0:30, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée]   My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée] EmptyMer 15 Oct - 7:12

Bienvenue bienvenue =D

N'hésite pas à contacter les admins si tu a besoin d'un coup de main en effet :3 Tu as la goule là-bas ou la psychopate à côté ! :3

(Et pis j'aime bien la musique et l'idée du perso !)
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MessageSujet: Re: My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée]   My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée] EmptyMer 15 Oct - 7:13

Bienvenuuuuuue !
Une Zelda *^* *lance des confettis sur elle*

Bon courage pour la suite de ta fiche, et comme dit Rodinounet, hésite pas si tu as besoin d'un renseignement \ô/
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MessageSujet: Re: My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée]   My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée] EmptyMer 15 Oct - 17:24

Merci à vous deux ! ♥

Chris => Fort aimable et tu es très rassurant...On dirait un choix entre deux sentences pour mourir dans d'atroces souffrances xD J'ai choisi la goule, peut-être qu'Howl aura la gentillesse de m'achever vite /PAN/ Merci et contente que l'idée te plaise ainsi que les chansons, j'espère que ça te plaira toujours ><

Howl => Merci ô grand admin aux grandes quenottes ! Comment je fais ma lèche-cul sérieux *troll* Du coup je n'ai pas hésité héhé 8) J't'ai envoyé un roman t'as vu ? Histoire de bieeeen te prendre dix minutes de ton temps /pan/

Encore merci à vous deux, j'ai écris le physique et le caractère, et le début de l'histoire, j'attends un peu pour la suite ! Merci encore ♥
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MessageSujet: Re: My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée]   My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée] EmptyJeu 16 Oct - 0:06

Je m'excuse platement du double-post oh oui lapidez-moi /paf/ Mais je tenais à dire que j'ai fini ma fiche, excusez-moi des fautes je me suis relue mais avec la fatigue j'en oublie ><
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MessageSujet: Re: My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée]   My Old Friend || Annie Kurasagi [terminée] EmptyLun 20 Oct - 23:23

Pardon encore une fois de l'attente !
J'ai tout lu avec attention et... Je n'ai rien à y redire, si ce n'est que ta fiche est très poignante par la manière dont elle est écrite, on est rapidement immergé dans l'univers que tu créés autour de ton personnage, c'est vraiment agréable \ô/

Je t'annonce donc que tu es officiellement validée, nous avons vu les détails un peu plus "glissants" comme tu dis via MP. ♥

Je t'ajoute à ton groupe et te redirige vers les liens ci-dessous :Bon jeu par ici :D
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