Sujet: Nothing Fields ▬ Night Guard [ 100% ] Jeu 19 Mar - 18:13
Nothing Fields
Identité
ÂGE : XIX ans physique | LX réellement. SEXE : Alpha mâle. NATIONALITÉ : Officieusement Anglais. Officiellement Russe.
MÉTIER : Gardien de nuit. RACE : Vampire. ORIGINES : Sang Pur.
CARACTÉRISTIQUES RACIALES : Hormis les crocs, le bout des oreilles légèrement pointues, je suis doté de sens aiguisés. Mon ouïe, comme mon odorat, sont beaucoup plus développés. Ma force en est de même, dont ma souplesse et ma rapidité. Bref, mes capacités physiques sont plus accrues que celles des humains. En revanche, en comparatif à celles des autres créatures, je l'ignore. Il faut dire qu'en Russie, je n'en ai pas beaucoup croisé. Ou n'ai-je tout simplement pas fait attention, hypothèse à ne pas négliger. Enfin si, on s'en branle.
POUVOIR ACTIF :Aura de peur ▬ Chance ou malédiction, je porte ce manteau de frayeur H24 depuis ma naissance. Et jamais, je n'ai su le contrôler, l'apaiser, le diminuer. Il a continuellement contribué à éloigner les personnes de moi. Ce qui a très certainement participé au fait que je n'ai jamais été violé malgré mes années de survie quotidienne dans la rue. Le seul ayant été immunisé de ce don, fut mon frère puis... Lui. Allez savoir pourquoi.
votre personnage
DESCRIPTION GLOBALE : « Les humains sont d'un ennui. C'est ce que j'ai pensé ce jour-là. » ▬ En fait il s'agit juste d'une citation. Mais à la réflexion, je le pense réellement. Ils sont fragiles, mais ce sont des créatures fascinantes de par leur bêtise. Ils ruinent le présent en se souciant de l'avenir et ils pleurent l'avenir en se rappelant le passé. Et à la vérité, je n'en suis pas si loin. Je fous en l'air mon présent en me souvenant de ce que j'ai vécu. Ridicule, hein ? Complètement, vous pouvez le dire. Tout en sachant que nous, vampires, sommes censés être d'immortels personnages. Alors se lancer dans une nostalgie ad vitam aeternam... Je commence, personnellement, à y être habitué. Mais les autres, j'en doute. Me supporter semble relever de l'inimaginable. Preuve en est avec Nolahn, hein. J'étais réellement amoureux de lui, jusqu'à penser que je ne me relèverais jamais de ce chagrin d'amour. Mais j'en parlerai tout à l'heure, dans mon histoire. Ça n'a rien à faire ici, après tout.
Il n'a pas fait de mon caractère ce qu'il est désormais. Mais il a été le fondateur de cette rancœur. Le moteur qui m'a permis de mettre un pied devant l'autre longtemps après son abandon. Parce-que ouais, j'ai fait comme ses lâches et je me suis laissé aller à la peine au lieu de me remettre debout dans l'immédiat. Mais tu vois, j'avais jamais vécu ça. Je n'avais jamais été accroc à quelqu'un. S'il avait été de la drogue, il aurait été ma dose quotidienne. Et à cette époque là de ma vie, j'étais putain d'heureux. J'aurais pu me coucher à ses pieds, me foutre à genoux pour lui. Mais il n'en avait que pour l'autre, bordel ! Ouais, je suis radicalement jaloux. Problème ? Obsessionnel aussi. Parce-que j'ai pas pu m'empêcher d'aller savoir ce qu'il faisait, où et comment. Un véritable petit espion. J'aurais pu former des femmes à traquer leur mari suspecté d'adultère. Mais j'en ai tellement rien à foutre des autres. En même temps, on m'a très bien appris à devenir égoïste, à ne penser qu'à ma gueule, ma gueule et ma gueule. J'étais jeune tu vois. A peine un petit adolescent, rouquin de surcroît, avec une bonne bouille de bébé joufflu. Et j'ai voulu me différencier de l'autre. D'abord je me suis devenu blond, j'ai commencé à m'habiller en noir, à foutre des chaînes à mon pantalon. Mais ça ne reflétait en rien cette obscurité constante que je portais. J'aurais dû devenir emo tiens, hahah. Puis, quand j'ai été largué de ma propre maison, ( ou presque, c'était pas tout à fait chez moi, après tout ), j'ai teint mes cheveux en noir et j'ai pris goût au maquillage. J'ai toujours estimé qu'on peut deviner certains traits de caractère rien qu'avec le code vestimentaire de quelqu'un. Et c'est vrai qu'il m'arrive de me demander ce que je peux inspirer aux autres. Puis l'idée s'en va et je m'en fou à nouveau.
Homme ou femme, je sais qu'on se tourne sur mon passage, parfois. Parce-que je fais androgyne, avec mes tifs trop longs et mon visage efféminé. Puis faut dire que je ne suis pas spécialement musclé. Un vampire n'en a absolument pas besoin. Du moins, je n'ai jamais trouvé que. Mais une nana' d'un mètre quatre-vingt quatre, c'est rare. Puis je préfère de loin les mecs qui prennent soin d'eux, qui ont un style qui s'approche du mien, plutôt qu'un vieux beauf baraqué dégueulasse. Cela dit, et pour être honnête... J'aime flirter. J'aime éveiller le désir ; Allumer les gens. Uniquement ceux qui sont à mon goût, évidemment. Et si on devait imaginer ma voix se glisser contre l'oreille d'un autre, ce serait sûrement celle de Nicholas Matthews. Ni adolescent, ni homme. En soi, je trouve que c'est une belle voix. L'arrogance, le narcissisme n'ont jamais été que plus appréciables chez moi. Je m'estime, oui. Et je le mérite, de mon avis. Ça doit faire partie intègre de mon honnêteté. Je déteste les personnes qui ne le sont pas. De plus, j'aime particulièrement la couleur de mes yeux qui n'est autre qu'un gris très clair, qui vire au rouge sanguin lorsque la faim me vient.
HISTOIRE :Je n'ai pas le moindre souvenir de mes parents biologiques. Nous avons été, moi et mon frère, logés dans un orphelinat, en Russie. Éventuellement, je ne me serais pas posé de questions sur nos origines si nos noms n'avaient pas eu de consonances Anglaise. Seul mon frère se souvenait du sien. Je dû en donner un nouveau. Mais quand bien même j'aurais su, quelle importance ? Nous avons grandi à « S. », toujours dans l'état Soviétique. Je ne cite pas le nom de la ville car de toute façon, ça ne vous apprendrait rien. Nous avons fui, par la suite, l'établissement une fois l'âge légalement adoptable passé, sans famille pour nous apprendre les bonnes mœurs de notre pays. Sans travail, ni toit au dessus du crâne, nous avons fini à la rue et évolués seuls. Et si vous désirez en savoir plus sur mon jumeau qu'aujourd'hui je ne porte plus dans mon cœur, il s'appelle Cam. C'était l'égal de moi-même, en tout point. Nous ne nous différencions pas. A la différence près de nos caractères. Il était plus civilisé, tandis que moi je me laissais aller à la bestialité de notre race. Je tuais pour lui, il ne se contentait que de boire.
Quelques années passèrent sans que l'on trouve refuge. Puis un soir, Il vint. Il n'avait rien d'un humain, mais tout du vampire beaucoup trop propre sur lui. C'était un homme grand, aux longs cheveux bruns et aux yeux d'un bleu envoûtant. Un visage fin, peut-être même trop et un charisme à en faire fondre un bloc de béton. Il était beau. Beau et célibataire. Mais quand tu as une dizaine d'années, c'est pas ça l'important. Et à mon grand étonnement, Cam est devenu plus sauvage que moi. C'était comme si cette soudaine rencontre l'avait transformé. Il fit la guerre à Nolahn, notre « tuteur » durant une bonne année. Peut-être était-ce là la façon de mon frère de prendre toute l'attention de M. Verity. Je n'en menais pas large au travers de toute cette sauvagerie et je me fis même oublier derrière mon frère. Il nous avait recueilli en son sein, en sa demeure et avait adapté sa vie selon nos besoins. Je ne souhaitais pas lui mener la vie dure pour tant de générosité. Pour un assassin, il avait fait fort. Puis de nouvelles années passèrent. Peu, moins d'une dizaine mais assez pour que nous deux prenions notre envol. Je tairais ce qu'il s'est passé, à « S. » pendant neuf années de vie commune. Tout ce que je dirais, c'est que dix-mille neuf-cent cinquante jours plus tard, nous étions de retour chez Nolahn. Entre Cam et lui, c'était comme rallumer des braises changées en incendie. J'en étais vert. Vert de jalousie. J'avais suivi mon jumeau comme le chien inutile que j'avais toujours été, pendant TRENTE ANS. Nous avions monté un bar ensemble, mais une nouvelle fois je n'avais été qu'une ombre et il avait suffit que sous un caprice de Cam, nous retournions chez ce type qui l'avait baisé des années plus tôt !
Mais Verity s'est montré plus tendre, plus doux, plus passionné et nous avons vécu un magnifique triangle amoureux de merde durant quelques temps. Jusqu'à ce qu'en fait on me signifie que, et bien ; « Tu ne m'intéresses pas en fait, c'est Cam que j'aime. Je voulais juste ne faire de tort à personne ». Voilà comment sur quelques phrases, sur une unique dispute, je fus à la porte. Sans valise, sans ami(e)s, sans famille... J'ai tout perdu, sous un coup de tête. Je n'avais été qu'un sac à foutre, un crachoir, une chaise percée. Rien. Juste, rien. Nothing. C'est comme ça que j'ai pu me renommer. C'est ce petit détail qui m'a offert une minuscule chance de survie. Parce-que dans la rue, a crever de faim et ne désirant même plus me nourrir, j'ai trouvé le moteur qui allait me permettre de me venger. Je voulais faire payer à mon frère. A Nolahn aussi. Comment pouvais-je permettre à ces deux enflures de s'en sortir, comme ça, sous le prétexte bienséant de « l'amour » ? Je devais naître, sortir de ma coquille et me bouger. Faire du mal, me sentir vivre. C'est à ce stade que j'ai réellement perçu mon don ; l'Aura de peur. Mais tout ce que je parvins à faire au cours des années suivantes fut de les faire fuir et déménager dans une autre ville. Prendre la peine de les chercher, de les traquer ? Non. Je me suis de nouveau laissé aller. Ma raison de vivre était de nouveau partie. Mon nouveau « pouvoir » fut inutile et même un lourd fardeau du fait que toute personne me fuyait. Alors j'ai abandonné mon esprit, mon honneur, ma fierté. J'étais devenu un dépravé. Je volais, buvais, me droguais, baisais à tour de bras et un jeune homme est apparu. Un peu comme un Ange, à sa façon. Lui n'avait aucune peur, vis à vis de moi. Au plus bas de l'échelon, même plus bas que l'humain même, il a sauvé le peu de lueur qui perdurait au fond de moi. Il m'a prit au creux de ses mains et m'a poussé, lentement mais sûrement, à redevenir quelque chose. J'ai recommencé à me nourrir, un peu puis normalement. A cesser de boire, de me droguer. Et lorsque je suis enfin redevenu un semblant de « quelqu'un », il m'a emmené là-bas, à Abberline, jugeant qu'il était désormais temps que je m'apprenne, que j'apprivoise les autres et surtout mon propre don. Mais a-t-il seulement raison ?
Derrière l'écran
PSEUDO : S. ÂGE : 21 ans. COMMENT ÊTES VOUS ARRIVÉ ICI ? Par un miracle divin. UN PETIT AVIS : I LIKE FIFISH ! DES SUGGESTIONS ? UN MOT POUR LA FIN : Blblblblbl.
Dernière édition par Nothing Fields le Jeu 2 Avr - 22:39, édité 20 fois
Sujet: Re: Nothing Fields ▬ Night Guard [ 100% ] Jeu 19 Mar - 18:37
Rebienvenue à toi ! Contente d'avoir un petit aperçu de ton vampire ! J'aime beaucoup ton avatar et l'image de ta fiche, ne change rien. Bon courage pour la suite, tu sais déjà que pour répondre aux questions, nous sommes là.
Sujet: Re: Nothing Fields ▬ Night Guard [ 100% ] Mar 24 Mar - 23:46
Rebienvenue, uep !
Aloooors, avant de procéder à ta validation, il y a une grosse incohérence qu'il faudrait que tu corriges. Tu dis que ton personnage a 19 ans, si mes connaissances en nombres romains sont correctes ; et j'imagine donc que c'est son âge physique, puisque dans ton histoire tu fais une ellipse de trente ans.
Le truc, c'est que Abberline a été créé pour apprendre au tout jeunes arrivants dans le monde magique à ne pas utiliser leurs pouvoirs et dons à tord et à travers. Hors, ton personnage est bien trop trop vieux pour cela. Le pensionnat n'accepte pas les élèves de plus de 20 ans. °-°
Je te propose donc deux solutions : soit tu incarnes un membre du personnel, ce qui serait plus logique, soit tu renonces à ce grand âge. A toi de voir !
Fais moi signe quand tu auras faire les modifications nécessaires.
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