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 Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki

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Anonymous

Invité
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Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki Empty
MessageSujet: Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki   Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki EmptyMar 16 Sep - 20:44

Murasaki Izuhira



Identité

ÂGE : 25 ans
SEXE : Masculin
NATIONALITÉ : Japonais

MÉTIER : Surveillant
RACE : Descendant des griffons
CATÉGORIE : Célestes

POUVOIR ACTIF : Murasaki possède le don, très utile pour un surveillant, de détecter les mensonges. Avouez, vous faites tout de suite moins les malins. On peut dire qu'il le maîtrise parfaitement, même si ce pouvoir est inné et donc sans cesse actif. Murasaki en a beaucoup souffert par le passé, alors s'en servir pour le bien de l'humanité du pensionnat, c'est un peu une revanche personnelle. Bon, en revanche, ça influence pas mal ses relations puisqu'il sait d'office quand quelqu'un lui ment. Du coup il préfère l'avouer directement, ça évite les malentendus. Ça écarte aussi pas mal de gens, mais Murasaki a fini par s'y habituer. Ce n'est pas comme s'il avait le choix...


votre personnage

DESCRIPTION GLOBALE : Murasaki se définit principalement par deux choses : il détecte les mensonges, et il passe son temps à râler. Ne s'en tenir qu'à cela serait réducteur, et pourtant les deux choses sont profondément liées. Mais qui regarderait Murasaki d'un œil extérieur ne verrait que ce jeune homme un peu grognon et trop sérieux. Il n'est pas rare qu'il sourie, pourtant, et ça nous change de son expression bougonne presque habituelle. Enfin, l'avantage de cette attitude, c'est qu'on l'entend arriver de loin ! On le voit de loin également, car si Murasaki n'est pas aussi beau que les Célestes dont il descend indirectement, il possède des cheveux très clairs, à l'image des griffons. Ses yeux en amande, héritage de ses origines japonaises, ont également une couleur atypique puisqu'ils sont orange clair. En dehors de cela, il a une apparence tout à fait normale pour un humain. C'est déjà bien suffisant d'avoir les cheveux blancs, me direz-vous. Murasaki a longtemps été gêné par ce fait, surtout dans son enfance au Japon, où il n'était pas le mouton noir mais le mouton blanc. Il a accepté cet héritage mais encore maintenant, quand on lui demande s'il est albinos, il ressent un agacement plus fort qu'il ne le voudrait. Cela arrive même à Abberline, où les gens s'interrogent parfois sur ses origines puisqu'il n'a pas les caractéristiques d'un griffon de lignée directe.

Il lui arrive parfois de voler sur le toit d'un bâtiment pour être au calme, parfois, mais c'est tout. Ça ne l'attire pas tellement, de jouer avec ça. Il est bien servi avec la détection de mensonges et il a passé tellement d'années à vouloir être normal qu'il préfère, aujourd'hui encore, se sentir le plus humain possible. Cela ne l'empêche pas d'adorer le pensionnat, qui a toujours tenu une place centrale dans sa vie. L'île est devenu son endroit préféré au monde, il ne se voit pas vivre ailleurs. Peut-être se trouvera-t-il un autre emploi dans le coin quand il en aura marre de courir après les fauteurs de troubles... Encore qu'il n'ait pas trop de problèmes à se faire respecter. Malgré son côté rouspéteur professionnel, Murasaki se montre étonnamment mature et responsable quand c'est nécessaire. Détecteur de mensonges ambulant, il est impossible de le berner et les pensionnaires les plus turbulents le fuient comme la peste. Les anciens reconnaissent son efficacité et son sens de la justice, mais également... son amour de la nicotine.

En fait, Murasaki se laisse facilement corrompre pour des petites choses contre un paquet de cigarettes. Il est davantage conciliant avec les élèves les plus anciens, puisqu'il les connaît mieux. Alors oui, malgré son efficacité légendaire, il lui arrive de fermer les yeux sur certaines bêtises, par exemple lorsqu'il surprend un élève plus jeune que les autres en train de passer un appel vers l'extérieur. Murasaki sait très bien qu'il est inutile de punir de façon compulsive. Il a été jeune aussi, il n'y a pas si longtemps que ça, et il se rappelle très bien de ses années pensionnat, et de l'attitude qui fonctionnait ou pas sur lui. Assez compréhensif avec les élèves, donc, Murasaki considère le pensionnat comme une grande famille (une famille à surveiller de près) et y maintenir l'ordre et la bonne-entente lui tient à cœur. Il n'en est pas moins professionnel et il n'ira pas faire copain-copain avec les gamins. Assez en retrait par rapport aux autres, Murasaki ne parle pas beaucoup de lui, ou de son passé, sauf si on lui demande s'il aimait être élève à Abberline. Il se définit personnellement comme quelqu'un de "pudique", les autres disent "énigmatiques"... tant mieux pour lui. Ça lui confère une aura de mystère qu'il aime bien, il s'en sert sur les plus impressionnables des élèves.

Dans l'ensemble, on écoute Murasaki, parfois à son grand étonnement. Peut-être est-ce en partie dû à l'aura de confiance de tous les célestes ; Murasaki la possède aussi et même s'il ne s'en sert pas consciemment, il se peut qu'elle lui confère une certaine autorité. Les gens sont, en général, à l'aise avec lui, sans pouvoir l'expliquer. Râlements mis à part, Murasaki respire le calme et la tranquillité. Sauf quand on lui vole ses clopes, là il devient nerveux et interroge compulsivement tous les élèves pour leur soutirer des informations sur "ses clopes". Faut pas lui prendre ses clopes. C'est quelqu'un de gentil mais il a un fort caractère. Murasaki déteste se faire marcher sur les pieds, ou sentir qu'on se moque de lui. Ce qu'il sent tout de suite, vous vous en doutez. Tout cela est dû notamment à une grande fierté. Modeste mais pas dépourvu d'un minimum d'amour-propre, Murasaki n'aime pas se ridiculiser ou se sentir exploité, et il n'hésite pas à le dire.

En général, il s'entend bien avec ses collègues, il suffit qu'ils supportent ses plaintes et ses râleries quotidiennes. En revanche il a un souci avec l'autorité, et donc la hiérarchie. Il a toujours besoin d'un temps d'adaptation quand on lui donne un ordre, puisque son premier réflexe serait d'envoyer balader la personne. Il n'est pas rare de le voir tirer la tronche quand on lui dit de faire quelque chose, reprendre la personne s'il y manque les termes de politesse, voire carrément refuser s'il juge l'ordre débile, inutile ou injuste envers autrui.

Que dire d'autre ? Il se promène avec un boken, sabre en bois généralement utilisé dans la pratique du kendo, art martial japonais. Il le manie très bien puisqu'il en a fait pendant longtemps. Il ne s'en sert pas contre les élèves, bien sûr, sauf pour leur donner des petits coups de manche sur la tête quand ils l'agacent plus que nécessaire.

HISTOIRE : Murasaki était un enfant calme, très sage. Il n'aimait pas faire du bruit et il n'aimait pas qu'on le remarque. Il avait l'impression, non, il savait que les gens ne voyaient que ses cheveux blancs et ses yeux trop bizarres. Pendant longtemps, ça n’avait été que ça : des cheveux blancs et des yeux trop bizarres. Trop différents. Murasaki les détestait. Il essaya de les cacher en piquant le décolorant de sa maman, mais le résultat fut horrible et sa punition presque pire. Ses parents étaient assez stricts. Ils avaient beaucoup d'affection pour lui et l'acceptaient tel qu'il était, mais ils n'aimaient pas qu'il se mette "à part". Ils auraient voulu qu'il ait une enfance normale. Ils savaient que ce n'étaient pas sa faute, bien sûr. Ils voulaient qu'il s'accepte. Mais ils n'y arrivaient pas, et Murasaki non plus. Ils finirent par lui demander s'il faisait réellement des efforts.

Murasaki ne leur parla pas des gamins qui se moquaient de lui à l'école. Il ne leur parla pas de ceux qui collaient des chewing-gums dans ses cheveux ou l'appelaient "le bizarre" ou "le monstre", encore moins de ceux qui l'accusaient d'être un véritable démon quand il s'énervait, se défendait et les frappait. Ses parents le mirent au kendo pour "canaliser son énergie", et ce fut un petit souffle de bonheur pour Murasaki. Mais même après ça, il ne leur parla pas de la voix qu'il entendait dans sa tête.

Au début, il pensait que c'était normal, que tout le monde l'entendait, cette petite voix qui lui soufflait des choses évidentes. "Il ment." "Elle raconte n'importe quoi." "Il ne viendra pas à ton anniversaire." "Elle te trouve moche." Cette petite voix était en fait la manifestation de son inconscient de ce sentiment de malaise qui le prenait à chaque fois que quelqu'un lui mentait. Au début, ce n'étaient que des fourmillements dans le ventre. Puis ça lui tordait l'estomac. Il s'inventa une petite voix pour se persuader qu'il ne réagissait pas physiquement aux mensonges d'autrui. C'était pourtant ce qui arrivait. D'abord quand on le regardait en face. Puis quand on regardait ses pieds. Enfin quand on ne lui parlait même pas directement. Même le présentateur à la télé. Murasaki ne savait pas en quoi ils mentaient, mais ils mentaient. Tout le temps.

Il savait que certaines mensonges partaient d'une bonne intention. "Il n'a pas envie de sortir alors il invente quelque chose pour ne pas venir avec toi au cinéma." "Elle ne veut pas te dire qu'elle ne te trouve pas à son goût alors elle insiste sur autre chose." Il essayait de relativiser. Mais quand on entend quelque chose et qu'on ressent tout le contraire, c'est difficile. Murasaki en était venu à cesser de parler et de voir les gens de peur de détecter autre chose que de l'honnêteté. Et puis un jour, il en parla. À son grand-père. Il se disait qu'une personne extérieure et peut-être plus objective que sa famille proche saurait le conseiller. À sa grande surprise, il s'avérait que son grand-père, un grand monsieur aux cheveux blancs et aux épaules très très voutées, était en fait le fils d'une créature mythique, un griffon. Ses ailes étaient repliées dans son dos, presque atrophiées à force de ne pas être utilisées, et sa couleur de cheveux, que Murasaki avait toujours attribuée à son grand âge, était naturelle. Murasaki ne savait pas que ce genre de choses pouvait sauter une génération.

Son grand-père le rassura sur sa situation et lui parla du coup du pensionnat Abberline. Murasaki était un peu effrayé à l'idée d'aller là-bas, tout seul, à dix ans. Comme de quitter ses parents. Mais en discutant avec eux, ils comprirent que c'était la meilleure solution pour "son problème". Ils étaient toujours persuadés que Murasaki finirait par le surmonter. Si une école pouvait l'aider, alors qu'il y aille. Murasaki fut soulagé et en même temps, un petit peu triste qu'ils le laissent s'en aller. Ils savaient tous qu'ils ne se reverraient pas avant neuf ans.

Les choses furent difficiles au début, Murasaki avait le mal du pays, il pleurait pas mal et il s'endormait toujours avec son boken pour se rappeler la maison. Heureusement, apprendre à maîtriser son pouvoir était pour lui un soulagement et cela lui fit oublier, petit à petit, la solitude. Son professeur de gestion de don lui conseilla de se mettre à la méditation et au yoga pour vider son esprit et apprendre à relativiser ce qu'il appelait "le mensonge". Il créa des barrières mentales pour discerner ses sentiments de ceux que son don lui imposait et, petit à petit, ce qui était une vraie douleur aux entrailles ne devint qu'un petit tiraillement, un chatouillis à peine. Lorsqu'il se mit à rigoler en classe après qu'un élève ait raconté une ânerie, on sut que Murasaki était sur la voie de la guérison. Il ne souffrait plus physiquement de son don et le malaise qu'il ressentait, et dont il connaissait maintenant parfaitement l'origine, ne restait que ce qu'il était : une simple intuition.

Les émotions négatives qu'elle lui inspirait disparurent complètement, ou presque : il ne pouvait pas s'empêcher de râler. Ça l'aidait à exprimer sa frustration. Car il détectait toujours aussi bien les mensonges, et il détestait toujours autant ça. Mais il ne pouvait rien y faire, alors il reportait sa colère sur autre chose. De temps en temps, il rencontrait des gens plus honnêtes que les autres, et alors son expression se radoucissait. Il passait beaucoup de temps en leur compagnie, quitte à être envahissant, mais comme personne n'est parfait, il finissait toujours par détecter le début d'un petit mensonge, et il repartait en râlant que le temps était pourri en ce moment, ou les patates de la cantine pas assez cuites.

Après ses neuf années d'études règlementaires, pas une de plus malgré quelques problèmes avec l'autorité, le nippon quitta l'île pour revenir sur celle qui l'avait vu naître. Il fut surpris d'apprendre qu'il avait eu une petite sœur. S'il avait souvent enfreint le règlement pour s'amuser, jamais il n'avait pensé à contacter ses parents, conscient que c'était une règle essentielle à l'apprentissage sur l'île. Murasaki avait envie de rattraper le temps perdu, mais ce n'était pas chose facile car sa sœur, déjà âgée de huit ans, ne le connaissait ni d'Eve ni d'Adam. Il y avait bien les photos sur les murs, mais c'était un peu étrange d'expliquer que "ton frère est parti très longtemps sur une île", sans raison particulière. Leurs parents n'avaient apparemment pas jugé bons de lui expliquer la vérité. Murasaki ne le fit pas non plus, ce n'était pas son rôle après tout. Il passa quelques mois chez ses parents puis chez son grand-père, avec qui il partagea joyeusement son expérience du pensionnat. Ce dernier étant très âgé, Murasaki n'eut pas l'occasion de passer plus d'un an en sa compagnie. Après son décès, comme il n'avait pas grand-chose à perdre et pas l'envie de retourner chez ses parents, il voyagea dans le reste du Japon puis un peu partout, notamment en Australie. Melbourne lui plut beaucoup, il vécut quelques années là-bas. Et puis un jour, alors qu'il était assis face à la mer, il trouva que le port était bien bruyant et se surprit à rêver du paysage qu'il voyait depuis Abberline. Ni une ni deux, il laissa tomber son job, emballa ses affaires et retourna sur la jolie île qui l'avait vu grandir.


Derrière l'écran

PSEUDO : Murasaki conviendra n__n
ÂGE : Le même que Murasaki, ahah.
COMMENT ÊTES VOUS ARRIVÉ ICI ? Je suis tombée dans le bocal ! (top)
UN PETIT AVIS : Je trouve le contexte sympathique et le design tout doux, très reposant.
DES SUGGESTIONS ? Aucune pour le moment, mais je n'hésiterais pas si quelque chose me vient !
UN MOT POUR LA FIN : J'espère que mon interprétation du PV vous plaira.  :=3:
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7E ANNÉE ◊ KRAKENFONDATRICE
Howl Baxter

Howl Baxter
7E ANNÉE ◊ KRAKEN
FONDATRICE


Coquillages : 7916
Messages : 481

Bonus
Inventaire:
Bloc-notes:
Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki Empty
MessageSujet: Re: Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki   Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki EmptyMar 16 Sep - 23:21

Bienvenue encore une fois :D
J'adore vraiment cette fiche, Murasaki c'est un peu mon prédéfini préféré, et je suis contente de voir qu'il tombe entre les mains de quelqu'un qui l'a absolument cerné. *^*
J'espère que tu t'amuseras bien avec lui ! Je t'annonce que tu es officiellement validé.

Je te redirige vers les liens ci-dessous :
N'hésite pas à me contacter en cas de problème, questions, toussa toussa !
Bon jeu ici :D
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https://goldfish-c.forumactif.org
Anonymous

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Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki Empty
MessageSujet: Re: Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki   Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki EmptyMer 17 Sep - 9:53

Merci beaucoup ! :ohno: Je suis ravie que la fiche te plaise, c'était un vrai plaisir de l'écrire :3
*s'en va gambader joyeusement dans les champs du rp*
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Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki Empty
MessageSujet: Re: Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki   Caliméro peut aller se rhabiller •Murasaki Empty

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