AGE : 25 ans
SEXE : Féminin
NATIONALITÉ : Française

MÉTIER : Professeur de Littérature
RACE :  Elementaliste
ORIGINES : Sang pur

CARACTÉRISTIQUES RACIALES : Sorcière, ensorceleuse, magicienne, oiseau de malheur, élémentaliste… Peu importe le nom que l’on donne à ces femmes, elles ont toujours été hait. Mais Calixte préfère qu’on l’appelle Ensorceleuse. Cette branche de sorcière est reconnaissable par leurs cheveux de couleurs exotiques et leurs capacité à léviter. D’une beauté certaine, elle ont parfois été confondu avec les succubes. Elles ont une affinité certaine avec la nature et ne supporte pas les endroits clos.

POUVOIR ACTIF : Tempestaire : Maîtriser les événements climatiques ou les créer de toutes pièces. Neige, grêle, foudre, pluie, soleil, chaud ou froid… Calixte c’est un peu la Miss météo d’Abberline. Un pouvoir puissant qui consomme beaucoup d'énergie. Ainsi, plus la force, la durée et l'étendue de la zone sont grandes, plus la femme doit puiser dans ses réserves. Mais faire pleuvoir toute la journée au dessus de la tête d’un élève qui fait l’école buissonnière est assez aisé.

Mémoire décuplée : Chaque mots, chaque détails, chaque instants depuis ses 7 ans sont gravés dans sa mémoire. Un pouvoir bien utile puisque la jeune femme est littéralement devenue une encyclopédie vivante mais ce pouvoir lui provoque des maux de crânes particulièrement violents.

DESCRIPTION GLOBALE :
Calixte est une jeune femme active et souriante, ses cheveux roses pâles s’agitent souvent tant elle semble sans cesse sur tout les fronts. Travailleuse acharnée, elle ne supporte pas les choses faites à moitié et est l’un des professeur d’Abberline les plus exigeants. Elle reste tout de même largement appréciée par les élèves pour son aspect absolument imprévisible. Aucun de ses cours ne se ressemblent. D’ailleurs, il est rare que ces derniers se passent dans une salle de classe. Naturellement enjouée et taquine, elle n’hésite pas à aller chercher les élèves et collègues les plus réservés. On pourrait la qualifier de totalement délurée et tête brûlée aussi, elle organise des sauts à l’élastique du haut du toit pour tester le courage de ses élèves en début d’année. Un peu brutale parfois, Calixte ne manque pas de mordant. Belle femme, elle ne joue pourtant pas de ses atouts, considérant cela comme de la triche. D’ailleurs, la rose est la pire mauvaise perdante que la terre ait porté. Rancunière de surcroît. Une véritable tête de cochon parfois. Et ne cherchez pas à lui faire entendre raison, elle est si bornée… Ce trait de caractère peut rendre fou le personnel quand une décision doit être prise à l’unanimité. Calixte est une personne entière, qui ne sait pas faire dans la demi mesure. Chose qui peut lui jouer des tours.

Lorsqu’on gratte la couche de vernis rose, on découvre une femme troublée, sans cesse en proie à des questionnements et en remise en question perpétuel. Un peu trop portée sur le vin aussi. Mais attention, sa conscience professionnelle lui interdit de boire avant de dispenser des cours. Il n’y a rien de plus pathétique qu’un enseignant aviné. Et la dame à bien trop d’orgueil pour paraître pathétique. Elle use et abuse de son pouvoir de tempestaire, facilement irrascible et partant au quart de tour, un bon coup de jus sur son interlocuteur peut lui permettre de garder la main.

Ses yeux verts en amandes sont vifs et semblent passer au crible chaque chose qui l’entoure.  On peut facilement savoir si elle utilise sont pouvoir, une marque violette sur son front s’illuminant légèrement. Calixte a un corps de femme voluptueuse et les hanches larges. Elle aime prendre soin d’elle sans en faire trop. Parfois, elle porte des lunettes pour soulager, un peu, ses maux de crânes. Bien qu’agée de 25 ans, on lui donne facilement la petite trentaine, son visage ayant définitivement perdu toutes rondeurs.

Son aspect brutal et direct est contrebalancé par son coté ultra-protectrice. Chaque danger qu'elle fait prendre à ses élèves est particulièrement millimétrés et elle s'assure toujours de leur intégrité physique et mentale. Depuis la naissance d'Esmée sont instinct maternel a lui aussi grandi de manière exponentiel.    

HISTOIRE :
Calixte est née dans un petit village breton, d’une mère Francaise et un père Irlandais. La rose était si attendue par ses parents. Une fille, enfin !  Elle grandit dans ce lieu pittoresque avec ses quatre grands frères. C’est d’eux qu’elle tient son caractère survoltée. Avec trois mages en aînés, il fallait s’accrocher pour avoir la dernière part de gâteau ! La tribu Evans était appréciée par le village, toujours souriant, toujours prêt à aider. Mais dans ce paisible village, ils faisaient un peu figure de tâche et les rumeurs ne se faisaient pas attendre : “Quelle drôle de couleurs de cheveux ont la mère et la fille. Tu crois qu’elles se les teignent ?” “Ils sont un peu marginaux quand même” “Je ne comprends pas pourquoi ils ont choisi une maison si isolée” “Ce sont des gens bizarres” Ils n’étaient pas si loin de la vérité en remarquant que quelque chose clochait. Puisque tous les Evans possédaient des capacités hors normes. Madame et Monsieur se sont rencontrés sur les banc de l’école à Abberline. Un couple mythique de mages élémentalistes.  Le feu et l’eau, un dragon et une Kirin. Leur relation à souvent fait les gros titres de la gazette. Il faut dire que le brun ténébreux avec la petite prodigue, ça fait jaser. Leur mariage était presque aussi somptueux que ceux des princes d’Alaria. Lorsque le jeune couple quitta l’île, personne ne pensait revoir un Evans. Et pourtant, qu’est ce que ça à pu défiler ! Tout les deux ans, un frère rejoignait le pensionnat pour être formé. Chacun des quatre maîtrisaient un élément différent. Ainsi, deux ans après l'arrivée du dernier frère, personne ne s’attendait à voir débarquer une petite boule rose à l’air renfrogné.

Turbulente, insolente, désobéissante, rebelle... Tout ces qualificatifs ont été utilisé pour décrire Mademoiselle Evans lors de sa scolarité. Elle cherchait sans cesse à se démarquer de ses frères, éviter la comparaison, être une Evans de plus. Elle abusait de ses pouvoirs et n'hésitait pas à faire pleuvoir sur ses professeurs détestés. Elle en a passé des heures dans la salle des lucarnes. C'est d'ailleurs en première année, lors de son premier passage que son amour pour les lettres s'est déclaré. Seule depuis des heures, presque frigorifiée, elle trouva un vieux livre caché derrière une pierre : La princesse de Clèves de Lafayette. Elle le lu d'une traite oubliant ainsi ce sentiment oppressant d'être épiée. Calixte s'était sentie vivre à travers cette histoire d'amour, elle avait hait l’héroïne et tout les autres personnages. Elle avait cherché le sens entre les lignes, les constructions verbales, la beauté d'une ponctuation... Toutes ces choses tournaient dans sa tête. Dès le lendemain, elle se plongea assidûment dans la lecture totale de la bibliothèque d'Abberline. Il lui fallu 5 ans. Elle oscillait entre mauvais coups et lecture. Une fois elle parvint à concilier les deux en entrant par effraction dans la réserve. Ce qui lui valu un petit tour dans le bureau du directeur.

Il faut dire que la demoiselle n'en était pas à son coup d'essai et surtout, ses notes étaient brillantes. Impossible de lui reprocher quoi que ce soit à ce niveau. Des scores impressionnants aux examens. Quel dommage que son caractère soit si... survolté. La jeune femme pouvait se saboter, elle avait été renvoyé d'un grand nombre de club, qu'elle appréciait pourtant. Et même si elle était plutôt populaire, elle n'avait pas d'amis loyaux, capable de se mettre tout le pensionnat à dos en une phrase. Heureusement son frère Kalen était là, son aîné de deux ans, il avait redoublé sa neuvième année volontairement pour rester au coté de sa petite sœur. Un homme calme et souriant, derrière ses lunettes se cachaient des yeux rieurs. Il était l’un des rares à pouvoir tempérer la fougueuse jeune femme. Apprécié par tous, il était brave et protecteur. Ainsi il n’hésita pas à sauter dans la mer déchaînée pour sauver une deuxième année in extremis de la noyade. Malheureusement cet acte héroïque lui coûta la vie. Maitre de l’air, il forma une bulle d’oxygène autour du visage de la jeune femme mais ne pu se sauver lui même. Lorsque Calixte apprit la nouvelle, la tempestaire entra dans une rage inconsidérée manquant de provoquer une catastrophe climatique si elle n’avait pas été mise sous sédatif. Après l’enterrement elle partie d’Abberline, maudissant le pensionnat et son laxisme, haïssant ses parents et frères qui n’étaient pas même pas venu aux funérailles. Personne ne trouvait grâce à ses yeux. Il est dit qu’il est impossible de quitter l’île lorsqu’on est élève et pourtant c’est ce qu’elle fit en plein milieu de sa huitième année. Probablement avec la complicité d’un membre du personnel. Mais qui ?

C’est à Chicago qu’elle déposa ses valises, 18 ans à peine, sans diplôme, ayant coupé contact avec sa famille. C’était vraiment une gamine paumé. Elle vivait dans la rue, dormant dans les bibliothèques, accumulant les jobs précaires. Calixte rejoignit un gang de motards et parcouru Amérique du nord en leurs compagnie. Entre baston, whisky et huile de moteur. Tous ce qu’ils ne fallait pas faire, elle le fit. Tombant même dans la drogue à certaines periodes. La jeune femme était un déchet, sa vie entière était à la dérive, seul son amour des livres lui maintenait la tête hors de l’eau. Cela dura deux ans puis Esmée arriva. Sa grossesse lui fit l’effet d’un électrochoc. La vie grandissait en elle, elle serait bientôt responsable d’une vie. Calixte quitta cette vie misérable, elle pu trouver refuge chez une vieille dame rencontrée sur les routes. Une ancienne professeur de littérature, durant sa grossesse, elle lui enseigna tout son savoir, partageant leur amour des lettres. Celle qu’elle appelait grand mère désormais s’occupa d’Esmée quand Calixte travaillait en tant que serveuse. Une vie simple et stable s’était peu à peu construit. La tempestaire n’usait plus de ses pouvoirs. D’ailleurs avait elle été une élémentaliste un jour ?

La petite Esmée grandissait de jour en jour, cette jolie fille aux grands yeux sombres et cheveux noirs semblait douée d’une perspicacité certaine. Mais à l’âge de quatre ans, tout le quotidien fut chamboulé. L’enfant manifestait les premiers signes d’une future Oracle. Elle se figeait dans la rue, mutique, fixant les passants avant d’en désigner un et lui dire “Tu n’es pas normal.”

Cette situation ne pouvait pas durer, Esmée ne pouvait pas grandir sans l’aide de quelqu’un pour maîtriser cette particularité. Il lui fallait un environnement plus stable. Sept ans après avoir disparu du pensionnat, Calixte revint accompagnée de sa fille. Rien n’avait changé, d’ailleurs une majorité des têtes étaient toujours les même. Elle recroisait même d’anciens camarades. Tous étaient surprit de voir la tempestaire de retour et lorsqu’ils apprenaient l’existence de sa fille encore plus. Calixte n’était pas diplômé dans les faits mais le directeur lui offrit tout de même le poste de Professeur de Littérature. Une manière d’offrir une seconde chance à la femme. De retour depuis quelques mois sur l’ile, Calixte saura t’elle saisir cette occasion ?

PSEUDO : KOUKOU C SVAN
GE : On en mange de 0 à 99 ans
COMMENT ÊTES VOUS ARRIVÉ ICI ? On m'a kidnappé.
UN PETIT AVIS : Vous avez un staff génial vous savez ?
DES SUGGESTIONS ? Vous voulez pas payer les modos ?
UN MOT POUR LA FIN : En cookies si vous voulez.