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 Ensuite je lis un livre, et même deux ou trois.

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Anonymous

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MessageSujet: Ensuite je lis un livre, et même deux ou trois.   Ensuite je lis un livre, et même deux ou trois. EmptyMer 27 Aoû - 16:41





J'ajoute quelques couleurs qui ne plaisent qu'à moi
Je me demande et demande et demande où se cache la vrai vie
avec - Mav

Ensuite je lis un livre, et même deux ou trois. 0001Ensuite je lis un livre, et même deux ou trois. 0009Ensuite je lis un livre, et même deux ou trois. 17112964_th_th16b5bdccEnsuite je lis un livre, et même deux ou trois. Ariel_combing_hair




Les rayons du soleil illuminé déjà la chambre poussiéreuse lorsqu'elle ouvrit les yeux. Le contact de la lumière brulante l'éblouit quelques instants, jusqu'à ce que sa vue daigne enfin à discerner les formes et les couleurs autour d'elle. La couverture lui collait à la peau, et elle avait terriblement mal au crâne. Sa tête tournait comme une toupie, et des douleurs lui tiraillaient littéralement l'estomac. Elle pressa sa main contre sa bouche, et écarquilla les yeux. La nausée. Elle avait l'impression de sortir du gueule de bois, et de se réveiller avec une bouteille fraiche de vodka lui dégoulinant encore dans les mains. Elle avait chaud, des bouffées de chaleur peu agréable avaient trouvé domicile dans son corps. Ces yeux étaient collés, et dans son crâne, elle avait l'impression que minuit était annoncé dans la plus grande horlogerie du monde. Mais bon dieu ! Qu'avait-elle donc fait de si incroyable pour se réveiller dans un tel état ? Sa gorge était sèche, et elle arrivait difficilement à avaler un peu de salives pour humidifier sa bouche. Le regard perdu dans le vague, elle attendait que ses bribes de souvenirs prennent forme pour pouvoir comprendre le sens de cette journée. Les doigts parcouraient lentement sa tempe, pour trouver la source de sa douleur. Elle grimaçait à chaque seconde, tentant de reconnaître doucement l'endroit où elle se trouvait. Les couleurs formèrent un arc-en-ciel de souvenir dans sa tête, et un florilège d'émotions toutes plus réelles les unes que les autres. C'est un point non-désagréable avec la vodka et la tequila. L'expression : Voir sa vie défiler pendant quelques secondes prend enfin son sens. Puis, un bruit, plutôt un hurlement, résonna dans cette pièce poussiéreuse. Le choc fut brutal, son cœur battit soudain plus vite et la panique gagna rapidement son hippocampe interrompant brusquement cette cinématique. Elle se retourna vivement vers la source bruyante, avec une expression de somnambulisme sur le visage. Voyant une horloge vrombir sur sa table, elle comprit immédiatement. Réveil. Elle s'approcha lentement et lui donna un violent coup ce qui eut pour effet de le faire traverser la pièce en quelques secondes et d'arrêter immédiatement le bruit épouvantable qu'il produisait. Elle passa doucement ses mains moites sur son visage endolori, et regarda pour la première fois complétement éveiller cette pièce. Sa pièce. Un profond sentiment chaleureux lui remplit son petit cœur douloureux. Et les souvenirs de la veille revinrent doucement garnir sa mémoire partiellement réveillé. Elle regarde machinalement son horloge, regrettant d'avoir détruit son compagnon de toujours. Les souvenirs lui firent l'effet d'une brusque claque. École. La lumière indiquait clairement que l'heure fatidique avait trépassé. Sa longue chevelure blonde virevolta dans tous les sens, tout comme son interlocutrice. Les draps volèrent loin dans le lit et le premier mouvement fut rapide, précis, apeuré. Le contact glacial du sol lui provoqua un brusque frisson dans le dos. Elle se sentait toujours la tête dans les nuages, et certains de ces mouvements étaient lasse. Des courbatures la lancée un peu partout dans son corps endolori. Elle marcha, titubante vers la salle de bains. Elle se passa rapidement de l'eau sur le visage et se regarda pour la première dans une glace. Elle avait le teint resplendissant, enfin hormis la bave sèche sur sa bouche, ses cernes et le rouge à lèvre étalé sur sa joue. Elle cligna lentement des yeux avant de se précipiter devant ses ustensiles, ou ces produits miracles, pour la peau. Sa peau était douloureuse et irritée. Elle se peigna rapidement les cheveux, arrachant plusieurs touffes de cheveux. Elle regarda une dernière fois sa chambre, elle était désordonnée et plusieurs bouteilles de bière gisaient inconsciemment sur le sol désormais noyé dans cette eau-de-vie. Elle poussa un soupir désapprobateur, et claqua sauvagement la porte derrière elle. Elle descendait à toute allure dans les escaliers. Ces converses boueuses peinaient à retenir une éventuelle chute désastreuse. La main glissait à toute allure sur la rampe humide. Le bruit sourd de ses pas résonnaient dans tout l'établissement. Elle manqua de se rompre le cou quelque fois, mais se rattrapait toujours fermement. Sa marche devint plus rapide, elle fonça à vive allure dans les couloirs fantômes, n'abritant que quelques feuilles de papier froissées. Chaque pas qu'elle faisait lui donnait une douleur peu agréable, presque insupportable. Son souffle se faisait rapide et ses mouvements plus désespérés, plus suppliants. Ses semelles foulaient irrémédiablement le sol ciré du pensionnat qu'elle surnommait chez moi. Sa respiration se fit sifflante, quand soudain, elle s'arrêta. Elle agrippa fermement son jean usé, et tenta de reprendre son souffle. Chacune de ses respirations étaient bruyante, et sa bouche grande ouverte, visiblement acharné à reprendre un peu d'air pour regarnir ses poumons. Sa main dériva lentement vers sa poitrine quelle pressa rapidement, les yeux exorbités et la salive pénétrant difficilement dans sa gorge. Elle releva la tête et regarda le plafond, la bouche béante. Son regard troublé, sa poitrine brulante, elle tentait de se calmer. Une goutte de sueur s'écoula lentement sur son visage, et elle regarda la porte. La lumière pâle s'échappait lentement d'une fente, divers rires et bavardages se faisaient entendre. Elle avala le peu de salives qui restait dans sa bouche déshydratée, et ouvrit la porte. Malheureusement pour elle, sa force ne fut pas contrôlée et cette dernière heurta le mur dans un fracas épouvantable. Les voix s'estompèrent au même moment, et un bruit de stylo tombant au sol résonna dans l'étrange silence qui régnait à présent dans cette pièce. Les yeux grands ouverts et la mine éberluée, elle tenta de parler mais c'est sans succès , ne parvenant qu'a articuler de simples bégaiements. Elle secoua la tête et se redressa rapidement, retrouvent son inoubliable expression de sérieux et accusateur. Le professeur tenait encore la craie dans sa main, et n'avait pas terminé l'esquisse de sa lettre. Les spectateurs regardaient également surpris, l'interlocutrice tenant encore fermement la poignée dans sa main. Elle secoua la tête, et tenta de prononcer des paroles pour rompre ce silence plus que pesant. Mais elle ne parvient qu'à murmurer un simple mot inaudible qui ressemblait plus à un soupir. Elle fouilla dans son sac et sortit une feuille jaunie et cornée, avant de la déposer brusquement sur le bureau et de lancer un regard accusateur envers le professeur. Puis, elle se fraya un chemin entre les sacs lancés machinalement sur le sol marbré. Elle se laissa tomber lourdement sur la chaise grinçante, et regarda narquoisement le regard glacial du professeur. Un sourire délaissé de toute joie vint s'esquisser sur son visage sombre. Puis, le silence se rompit par un chuchotement, puis un autre, bientôt un florilège de murmures se faisaient entendre. Certains admiratifs, d'autres accusateurs. Elle secoua la tête et laissa sa tête se vautrer dans le creux de main. Elle bascula lentement son crâne vers la fenêtre, ses paupières devinrent lourdes et Morphée vint doucement l'emmener dans son royaume. Ce fut le claquement sourd de la porte qui la tira brusquement de son sommeil sans rêve. Il ne restait que quelques élèves, tous rigolant et chahutant gaiement. Elle releva la tête, et se précipita vers la porte, heureuse de pouvoir enfin quitter ce cours ennuyeux. Les regards lui transperçaient la chair tel un couteau. Les stéréotypes semblaient se coller à elle telles des sangsues. Elle garda cependant la tête haute, pour ne pas les laisser voir que leur petit jeu avait réussi à l'atteindre. Mais au fond d'elle, quelque chose se brisa. Elle avait mal, son cœur était à vif, et elle luttait pour ne pas fondre en larmes. Bien qu'une légère vint perler sur son œil brulant. Sa gorge était nouée, et elle avait du mal à tenir debout, pourtant, elle avançait. La tête haute, marchant fièrement comme un coq. Faible. Ce mot était difficile à prononcer, tant ses idéaux étaient stricts. Peut-être fut-elle élevée dans un environnement trop perfectionniste voulant à tout prix lui imposer une idéologie mensongère. Les perdants sont des perdants. Elle n'aimait pas cette façon de penser, du moins par rapport aux autres. Elle avait cette façon de penser pour son propre ego. Chose peu commune, n'est-il pas ? Elle descendit donc les marches à vives allures, manquant de blesser des gens lors de ces passages assez ... Mouvementées. Telle, une lionne, sa chevelure s'envola laissant apparaître son visage entièrement. Elle descendit peu gracieusement, telle une sauvagesse, tentant donc de rejoindre rapidement son prochain cours. Puis, le choc. Douleur. Ce mot venait hanter son subconscient souvent dit donc ! Une douleur, profonde, désagréable. Sa poitrine était en feu, son pied la faisait souffrir. Des jurons peu appropriés à une demoiselle sortir tout seul de sa bouche, et furent noyé dans le brouhaha environnant. Sa crinière blonde virevolta dans tous les sens, et ce mouvement se firent douloureux. Son épaule reçue un choc à son tour, et son souffle se coupa. Elle manqua de trébucher et de se retrouver par terre, tête contre sol et ses bras pressant ses côtes, espérant atténuer la douleur. Sa vue se brouilla, et elle cligne lentement des yeux, tentant de reprendre ses doux esprits. Elle releva la tête, folle de rage, essayant sauvagement de trouver l'auteur de cet affront. Les couleurs se mélanger formant un blanc sale. Puis, des cheveux s'agitaient sous son nez. Elle regarda le possesseur de cette étonnante tignasse, et quelle ne fut pas sa surprise que de trouver un gamin devant elle ? D'autant plus qu'un sourire irrespectueux s'affichait sur sa tête d'ange. Du moins, c'est l'impression qu'elle eut, car elle poussa violemment contre le sol. Avant de le toiser sévèrement. Le bruit c'était arrêté, tous regardaient les deux silhouettes non méconnues dans les murs de cette école. Cette troupe de moutons forma un cercle avant de lancer leurs habituels hurlements en encourageant le possible combat. Elle le regarda en fronçant les sourcils est l'insulta brièvement. Et elle attendit. Attendant la réaction de ce gamin qui avait voulue faire le malin, tenant sans doute d'impressionner des éventuels camarades. Elle pressa sa poitrine, la douleur était encore présente. Et ta rage bouillait en toi, prête à exploser.



(c) MEI SUR APPLE SPRING



Dernière édition par April J. Abrahms le Sam 30 Aoû - 16:42, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Ensuite je lis un livre, et même deux ou trois.   Ensuite je lis un livre, et même deux ou trois. EmptyVen 29 Aoû - 3:39



❝ Did You Trip Down 12 Steps Into Malibu? ♪
• feat. April J. A•



Il n'avait suffit que de quelques secondes.

Parce qu'il peut se passer un paquet de trucs en un instant aussi court. Juste un moment, et vous venez de rater votre chance. Juste une minute, et la fin de votre vie vient de passer sans que vous n'aillez eu le temps de la voir venir. Quelques secondes et crash, on se retrouvait, sans trop savoir comment ni pourquoi, le cul sur le plancher et la tête à l'envers. Parce qu'un moment d’inattention, ça pouvait vous coûter beaucoup. Un membre, une fortune, la vie, tout ces genres de trucs pas bien rigolos qui, en plus d'être terriblement chiants, vont en prime vous faire sentir particulièrement con, car qu'on le veuille ou non, on sait tous pertinemment qu'on aurait pu facilement l'éviter si on avait fait un moindrement attention à ce qu'on était en train de foutre.

Ou encore, comme dans ce cas-ci, ça peut vous coûter votre dignité.

Parce que ouais, c'était bien sa dignité – ou le peu qui lui restait – qui venait de s'éclater par terre en petits morceaux, perdus parmi les livres et cahiers qu'il avait du même coup échappé sur le sol en linoléum de l'école. Enfin, valait sans doute mieux ça que l'intérieur de son crâne; contenu qui avait d'ailleurs bien faillit s'y retrouver, au vu de la chute qu'il venait de se prendre à la figure.

C'est sans doute pour cette raison que Maverick mit un moment avant de réaliser, tandis qu'il se frottait l'arrière de la boite crânienne en marmonnant inintelligiblement entre ses dents, que quelqu'un venait tout juste de le pousser.

Par terre.

Jeté au sol comme ça, tel un vieux truc inutile et tout pourris dont on ne veut plus, une vieille loque de merde qui sert à rien et qu'on aura gardé que par habitude avant d'essayer de la foutre au poubelle et de viser à côté. Parce que c'était bien beau qu'on lui ait rentré dedans comme ça – et il allait fort probablement avoir des bleus sur les côtes durant des jours à cause de ça - , mais qu'on décide de le pousser de la sorte?

Mais c'est que ça allait pas se passer comme ça, oh que non.

''Mais c'est qu'elle se prend pour qui, celle-là, hein?'' pensa-t-il en en secouant la tête histoire de se remettre les idées en place – ça, et de vérifier si aucun dommage irréparable n'avait été commis contre son cerveau. Se relevant prestement, ne prenant même pas la peine de ramasser ses trucs qui traînaient toujours par terre à la merci d'un coup de pied vagabond, Maverick s'approcha d'elle, les poings sur les hanches, un air plus que mécontent sur le visage. Pose qui serait fort probablement été plus impressionnante si son front n'arrivait pas aux clavicules de l'adolescente, mais passons.

-Non mais merde, jura-t-il entre ses dents avant de lui envoyer un regard qui aurait sans doute pu faire décoller la tapisserie des murs s'il n'était pas accompagné d'une tronche qui avait tendance à être corrélé négativement avec le terme 'Intimidation'. T'es folle ou quoi, c'est quoi ton putain de problème?!

Bon, d'accord, c'était sans doute un peu de sa faute – ou probablement entièrement de sa faute -, mais elle l'avait bien cherché, celle-là. Surtout qu'il ne la connaissait même pas, c'était pour dire. Enfin, pas vraiment. Il l'avait peut-être vu ici et là dans ses cours, et elle était sans doute dans la même année que lui, puis ses cheveux blonds qui n'en finissaient plus lui disait vaguement quelque chose, et okay, oui, il connaissait son nom et avait déjà entendu parler d'elle, mais qu'importe. Il n'en avait, bien franchement, rien à foutre pour le moment.

Puis, laissant échapper un 'tu vas voir, je vais t'en foutre un sur la gueule, moi' bien sentit entre ses dents, Maverick lui enfonça son doigt dans le biceps, comme si le geste en lui-même allait ajouter du poids à ses paroles. Ça, et que quand bien même il aurait voulu lui mettre son poing sur la tronche, il y avait de fortes chances qu'il en vienne à se casser le poignet bien avant d'arriver à faire le moindre dommage sur le visage parfait de la jeune fille.

-C'est quoi, tu passes ton temps à rentrer dans les gens comme ça sans raison comme un gros bourrin? Tu te fais tellement chier que tu viens embêter les autres sans raison? ajouta-t-il en plissant les yeux, se redressant un peu dans l'espoir d'apparaître un peu plus imposant.

Pas que ça ait vraiment une chance de fonctionner, mais qui sait.

Il aurait probablement dû se taire, au final. Ramasser ses affaires et continuer sa route sans rien dire. Peut-être même s'excuser de lui avoir rentré dedans pour commencer et se faufiler illico presto entre cet amas de gens qui traînaient autour d'eux comme une bande de hyènes affamées prêtes à sauter sur la première charogne venue sous les yeux globuleux des poissons qui nageaient paisiblement dans les quelques aquariums du hall. Surtout qu'on n'avait pas besoin d'être particulièrement intelligent pour voir qu'elle cherchait la bagarre – ça, et que même s'il ne savait pas comment se servir de ses yeux, ses aptitudes empathiques le lui auraient fait comprendre très vite, surtout au vu de la rage qu'il arrive à sentir bouillonner en elle. Et ça, c'était sans compter le fait que le bureau du directeur n'était pas loin du tout, et que s'il venait à se faire attraper dans un situation pareille, il n'imaginait même pas la punition qu'il allait se faire donner.

Seulement voilà, elle avait voulu l'envoyer balader? Et bien tant pis pour elle, si elle faisait pas attention, il allait finir par lui donner un bon coup de pied dans les ovaires, à cette grognasse des cavernes qui savait pas vivre. Et bon, si jamais on lui demandait son avis, il vous répondrait probablement que sa mauvaise humeur, elle pouvait bien se la foutre dans le cul.

•••

code par Skank aka Achiavel sur Apple-Spring


Pardon, c'est débile et sans doute pas à la hauteur de tes attentes, mais j'ai fais de mon mieux, je le jure. Aussi, j'ai pas pigé si tu te poussais du sol, ou si tu le poussais lui contre le sol, donc j'y suis allé avec la seconde option, sorry!
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MessageSujet: Re: Ensuite je lis un livre, et même deux ou trois.   Ensuite je lis un livre, et même deux ou trois. EmptyMer 17 Sep - 12:02




Douce musique

Pourquoi ?



Pourquoi? Les événements peuvent prendre une tournure plus que inattendue. Il aurait du se taire. Ne rien dire, continuer sa marche et m'insulter dans mon dos, répandre de fausses rumeurs et finalement, me cracher à la figure. Cela aurait été tellement plus facile. J'ai l'habitude, cela ne m'aurai pas affecté, pas plus que les autres en tout cas. Je ne veux pas arborer un sourire faux, alors j'ai arrêté de sourire. Faisant taire de nombreuses rumeurs pas la même occasion. Mais lui, il c'est relevé. Gonflant sa poitrine et me regardant avec un regard peu commode. Il ressemblait à un coque fier et reluisant de toutes ces plumes la hache sur la tête. En mon for intérieur, je rigolais. Il allait perdre. J'allais le ridiculiser, comme je le fais à chaque fois que quelqu'un me rentre dedans. La même et éternelle répétition, cela en deviendrai presque lassant.Je mis lentement ma main moite vers ma bouche et réprima un gloussement. Tout cela allait exploser. Rire. J'en avais besoin, dieu seul sait que cela me manquer de rire à gorge déployé. J'essayais de le cacher, m'étouffant un peu plus à chaque rire. Je tentais faiblement d'inspirer de grande goulée d'air frais. En vain. Le rire qui se formait en moi tel un feu ravageur EN COURS



Charlies & Co
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