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 Jack Deeper

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Jack Deeper

Jack Deeper
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MessageSujet: Jack Deeper   Jack Deeper EmptyLun 16 Mar - 17:00

Jack Deeper



Identité

ÂGE : 26 ans
SEXE : Hombre
NATIONALITÉ : Anglaise

MÉTIER : Professeur d'art dramatique
RACE : Ange
ORIGINES : Héritier

CARACTÉRISTIQUES RACIALES : Il possède de belles ailes blanches, qu'il peut faire apparaître à sa guise dans son dos. Voler est simple et intuitif pour lui. Il n'a pas d'autres signes distinctifs.

POUVOIR ACTIF :

Chronokinésie : Le pouvoir de Jack n'arrête pas le temps, il le ralentit. En ce sens, il ne peut empêcher les évènements de se produire, seulement les retarder. Juste 5 secondes où tout sera ralenti, sauf lui, offrant une échappatoire possible en toutes occasions.
Adolescent, son don s'activait avec l'émotion, ce n'est qu'après quelques années qu'il a appris seul à le maitriser, pour qu'il puisse ralentir le temps quand il le souhaite. Mais sa technique est loin d'être parfaite, vu qu'il n'a jamais eu de professeur. Cela lui coûte beaucoup d'énergie, et il ne peut l'activer que deux ou trois fois par jour, avec plusieurs heures de répit.

Rêve : Jack ne peut aucunement agir sur les rêves ou les modifier, juste en être spectateur. Pour rentrer dans le rêve de quelqu'un, il nécessaire d'avoir un contact physique. Mais une fois son don activé, il plonge également dans un sommeil profond. S'il est très proche de la personne, il pourra lui adresser la parole, mais sinon, il se contentera d'observer. Il se souviendra des moindres détails au réveil, comme si tout cela s'était réellement produit. Le temps dans un songe peut paraître très long, mais sa vision des rêves ne dure guère plus de 5 minutes. Ensuite, Jack entame une longue sieste réparatrice, qui peut durer une nuit complète. Il utilise rarement ce pouvoir, ne le contrôlant pas et ayant déjà assez à faire avec ses propres cauchemars.


votre personnage

DESCRIPTION GLOBALE : Parfois, la vie ne dépend que d'un chiffre. Pour Jack, tout semble toujours tourner autour du cinq. C'est pourquoi il se présente toujours en cinq points bien distincts. Il n'est pas maniaque non. C'est juste une mauvaise habitude qu'il a pris. De la chance, il en a eu beaucoup trop, il l'a négligé. Maintenant il fait attention à chaque détail.

Des yeux d'un rouge sombre, qui vous fixe intensément.
Des cheveux blancs comme la neige, lui donnant une aura de pureté qu'il n'a pas.
Un corps grand et gracile, mais avec assez de muscles pour s'imposer.
Un style vestimentaire presque passe partout, si on lui enlevait sa longue cape noire de flibustier qu'il porte été comme hiver.
Des ailes blanches avec une seule plume noire, bien visible. Il les cache la plupart du temps, sauf lors de ses virées nocturnes.

Jack c'est aussi...

Un solitaire qui ne demande rien à personne. Il refuse même l'aide de son prochain. C'est peut-être pour cette raison qu'il se lance toujours dans des débats intérieurs sans fin. Un spécimen bien rare qui pense autant avec sa tête qu'avec ses poings. Cela dépend seulement de la situation et du lieu. Même s'il aime les longs monologues, le jeune homme apprécie aussi un peu de compagnie. Mais rien de sérieux, que ce soit en amitié ou en amour. Et son arrivée à Abberline n'a rien changé à cela, ses collègues ayant presque tous vécu des années sur l'ile contrairement à lui.

Un incompris qui s'apprécie. A passer autant de temps avec lui-même, il en est devenu un peu narcissique et égoïste. C'est juste qu'il ne s'occupe que de ses problèmes, vu que les autres n'ont rien à faire avec lui. A l'exception de ses élèves, qui sont sous sa responsabilité. Il a toujours pensé que ses réflexions le rendait à part, en dehors de la populace. Il est bien capable de se plonger dans des états seconds, de perdre complètement pied face à la réalité lorsqu'il ne va pas bien. Comme tout le monde, il a ses hauts et ses bas, mais les siens sont beaucoup plus "théâtral". Une chose qui peut être bénigne pour quelqu'un prendra des proportions énormes pour lui. Un simple mot peut lui faire donc user de sa force.

Un artiste dans l'âme. Sa passion pour le théâtre est dévorante, sans limite. Il aime se perdre dans un autre rôle pour oublier le sien. Pour servir dignement son art, Jack ne boit pas, ne fume pas et ne se drogue pas. Même dans ses périodes les plus sombres, il n'a jamais touché à ça. Il préférait sombrer dans les abîmes en lisant un acte d'Hamlet, comprenant très bien la lâcheté du héros. Et puis de toute manière, il détestait ses prétendues artistes qui se shootait pour produire de l'immonde qui se vendra bien.

Un enseignant qui se cherche encore. Sa matière semble peut-être moins exigeante que les autres, vu qu'elle est facultative, mais il y attache beaucoup d'importance. Lorsqu'il entre en cours, c'est comme s'il changeait de peau et laissait toutes ses ruminations derrière lui. Etre prof n'était qu'un rôle comme un autre après tout. Malgré son caractère bien trempé et son côté désespéré de la vie, en coulisse il reste enjoué et patient. Ses élèves sont comme ses protégés ; une fois qu'ils ont passé sa porte, il les prend sous son aile. C'est peut-être la seule chose pour laquelle il se battrait vraiment. Jack apprécie d'enseigner son savoir, qu'il a appris sur le tas et en faisant quelques études, mais il aime aussi apprendre de ses élèves. Certes, ce n'est pas facile tous les jours, mais il n'y a que sur une scène ou dans sa salle de classe qu'il se sent bien.

Un flemmard et un lâche. Une fois chez lui, il a dû mal à se lever du canapé pour préparer le diner. Il est très probable qu'il aurait arrêté sa description ici, vu que faire le diagnostic de sa flemmingite aiguë n'est pas nécessaire. C'est une maladie répandue de nos jours, chez les 15-30 ans.

C'est l'heure du cours d'histoire mes amis. Attention, ça va secouer !


Le vent le suivait doucement, comme pour essayer de le rassurer. Jack pouvait ressentir son souffle apaisant sur sa nuque. Où qu'il aille, le vent sera toujours avec lui. C'est peut-être cela qui le réconfortait un peu. Alors qu'il s'avançait, ses pieds nus s'enfonçant dans le sable fin, il était pensif. Il se dirigeait vers un pensionnat qui lui avait donné un poste de professeur. Mais ce n'était pas un lieu ordinaire. Plutôt un refuge pour toutes les personnes comme lui. Ses pouvoirs l'avaient hanté tellement longtemps, il s'était posé beaucoup de questions. Qu'aurait été sa vie s'il avait été un élève à Abberline ? S'il avait pu vivre parmi ses semblables ?


Jack n'a pas eu une enfance assez triste pour faire pleurer les ménagères de moins de 50 ans. Son père n'était pas violent, sa mère n'était pas alcoolique. Tout dans sa grande et riche maison était parfait. Peut-être un peu trop parfait. Il n'était pas dans le besoin, mais il n'était pas normal non plus. Son école était privée, il était un très bon élève et il avait tout ce qu'il voulait. Fils unique d'une famille de gérants d'entreprises, il avait non seulement l'argent, mais aussi le pouvoir. Il était même promis dès sa naissance à une brillante carrière, étant le seul qui pouvait reprendre l'affaire familiale. Mais le jeune garçon, depuis son adolescence, en avait décidé autrement.

Un enfant gâté, ça ne donne jamais rien de bon. En grandissant, soit il devient une personne avec un égo sur-dimensionné, soit il pète les plombs. Jack a choisit en quelque sorte les deux options. Au milieu du secondaire, il a commencé à être attiré par des choses qu'il n'avait pas chez lui. Des éléments qui ne faisaient pas partie de sa cage dorée : violence, délits et mauvaises fréquentations. Sans vraiment réfléchir, il se laissa entrainer dans ce monde tout nouveau pour lui. Il avait besoin d'adrénaline, de frissons. Et d'avoir un pouvoir qui n'appartenait qu'à lui. Très vite, il se fit une réputation dans le monde de la rue sans que ses parents ni personne ne soit au courant. Il avait deux vies qui se chevauchaient, une le jour, une la nuit. Il se complaisait de pouvoir voler des passants après avoir assisté à un gala de charité. Et c'est à cette période que son pouvoir apparut.

La première fois, c'était lors d'une dispute avec des types qui traînaient avec lui. Une banale histoire de fric, comme tant d'autres. Mais cette fois-ci, tout dérapa. L'un d'eux sorti un couteau, et Jack eu juste le temps de l'éviter. Il sentit la rage parcourir ses veines, réveillant des origines enfouies. Le temps se ralentit soudain, les mouvements de la racaille qui le poursuivait se firent plus lents. Le jeune adolescent ne comprenait pas ce qui lui arrivait, il avait perdu le contrôle de la situation. Alors il laissa faire son instinct, il a fuit sans attendre que le temps reprenne son cours. Depuis ce jour, il était craint dans la rue autant qu'il était méprisé. Beaucoup se moquaient du fait qu'il n'était bon qu'à fuir, que c'était un lâche. Mais ceux-ci se taisent très vite avec un coup de poing ou deux de Jack. Lorsque son pouvoir se déclenche, il ne peut toucher personne autour de lui, sans en subir les conséquences. Il a essayé une fois, mais avant qu'il touche son agresseur, il avait ressenti une douleur atroce. Alors depuis, il était le "Démon Blanc", celui qui tape fort quand il ne s'enfuit pas. Il était heureux dans sa décrépitude. Mais une passion inattendue fit basculer sa vie.

Ce n'était pas une femme. Ni un homme d'ailleurs. C'était quelque chose de plus beau, de plus grand. A 17 ans, Jack se découvrit un grand intérêt pour le théâtre. Alors que ses parents l'avaient traîné à une représentation de Macbeth, il fut subjugué contre son gré. Les répliques entrèrent dans son âme et il comprit la vengeance et la folie du personnage principal. La sorcellerie qui conduisait à la folie meurtrière. Il ressentait cela dans tout son être. Il voulait apprendre à jouer comme ça. A pouvoir prendre un autre rôle, faire semblant d'être quelqu'un d'autre. Sa créativité et ses désirs n'auraient plus de limites. Il pourrait créer un personnage qui lui appartient. Sa propre vision de l'histoire. Quelques jours plus tard, il s'inscrivait au club de théâtre du lycée.

Les années passèrent et les choses se compliquèrent. Quand il a fallu choisir son université, Jack n'hésita pas longtemps. Au lieu d'aller en économie ou en science, comme l'aurait voulu papa maman, il alla en faculté de théâtre. Ou tout du moins, il poursuivit ses études pour devenir professeur de théâtre. Avec une année de théâtre à son actif, il voulait apprendre plus, mais surtout apprendre aux autres, sa passion n'avait jamais été aussi grande. Mais c'est aussi à ce moment que les disputes avec ses parents sont devenues trop grande. Ils n'avaient pas les mêmes points de vue et n'évoluaient plus dans le même monde, Jack s'identifiant plus au monde du macadam qu'à celui des grandes villas. La décision que prirent ses parents le fit revenir sur terre : ils le laissèrent à sa chère rue et le déshéritèrent, ne lui accordant qu'un versement sur son compte pour qu'il ne meure pas de faim. Jamais il n'aurait pu prédire ça. Ils étaient trop gentils avec lui pendant toutes ces années. Mais Jack n'était encore qu'un gosse qui jouait au dur. Jamais il n'aurait pu imaginer ce qu'était vraiment la rue, quand on avait nulle part où dormir le soir.

On arrive au passage où l'obscurité prend part sur l'orgueil et la fantaisie. Cette période qu'il préfèrerait effacer de sa mémoire. Très vite, ses études entrèrent en opposition avec sa véritable vie sur le pavé. Et cette fois-ci, cela devenait peu à peu ingérable. Il avait grandi, mais ses amies aussi. Et plus on devient grand, plus les délits sont importants. Ce qui était de petits bagarres devinrent des règlements de comptes et ce qui était des vols à l'étalage devinrent des tentatives de meurtre. Et Jack, déjà embrigadé dans tout cela, ne savait rien faire d'autre. Il arrivait de moins en moins à suivre les cours, ne pouvant vivre dans cet univers qui ne connaissait rien du malheur des cités. Les professeurs l'avaient remarqué, mais ne disait rien. Il rendait toujours ses devoirs à l'heure et ses prestations étaient parfaites. Mais dès qu'il était en dehors de la scène, son regard était éteint.

Il réussit tant bien que mal à obtenir son diplôme, en ayant une note bien inférieure à ce qu'il méritait. Les professeurs insistèrent plusieurs fois pour lui donner des recommandations pour des écoles réputées où il pourrait enseigner. Mais il refusa. Lentement, il plongea dans le noir, il sombra dans un lieu où la réflexion ne valait rien. Il continua ses vols et commença à vivre de ses larcins, revendant beaucoup sur le marché noir. Tout était plus facile. Il ne pouvait pas le nier, c'était là sa place. Cela faisait bien trop longtemps qu'il arpentait les ruelles sombres pour qu'il puisse fuir. Il ne pouvait plus être un lâche à présent. Mais un jour qu'il cambriolait un magasin avec les autres, l'un d'entre eux, qu'on surnommait Vipère, tira sur le caissier. Jack assista à la scène, impuissant. Tout cela ne dura guère plus de quelques secondes. Le jeune homme aux cheveux blancs les avaient comptées. 5 secondes.

Une.

La vipère sorti son arme et abattit le caissier. Jack commença à courir, le temps à se ralentir.

Deux.

L'homme armé de sa rage et de son flingue visa les clients aux alentours.

Trois.

Il tira dans tous les sens, tuant les hommes, les femmes, les enfants.

Quatre.

Jack se dirigeait vers la porte, une main sur la poignée.

Cinq.

Alors qu'il sortait, il vit le visage implorant d'une mère et le visage fou de rage de la Vipère. C'est la dernière chose qu'il vit avant que le temps reprenne son cours et que lui reprenne sa course.

Dans le quartier, on donna plus tard un nom à cet incident, le massacre du Bubble Shop. Et le Démon Blanc avait participé à cela. Mais comme d'habitude, il avait fuit. Après cet incident, Jack Deeper s'enferma chez lui. Il ne sortait plus, mangeait à peine. Mais il réfléchissait et il lisait beaucoup. En quelques mois, il avait lu l'intégralité de Shakespeare, Beckett et j'en passe. Cela lui arrivait de jouer des scènes par coeur, tout seul dans sa salle de bain, et de faire tous les personnages en même temps. Il était devenu fou. Tristement dément. Sa lâcheté lui pesait. Si quelqu'un osait passer prendre de ses nouvelles, on ne savait pas vraiment qui se trouvait avachi dans ce canapé. Il passait d'une minute à l'autre entre Jack, Hamlet et Macbeth. Comme s'il se reconnaissait beaucoup trop dans ces personnages, qu'il voulait se protéger du monde. Ne faisant rien de ses journées, se débrouillant avec ses économies et quelques rares vols, il avait le temps de réfléchir. C'était devenu d'ailleurs sa principale activité. Sa dépression le poussait à remettre tout en question. Ce qu'il avait fait depuis l'adolescence, les mauvais chemins qu'il avait pris. Il passait également ses journées à perfectionner son pouvoir en égrenant le même rythme pour s'entrainer à ralentir le temps. C'était devenu presque un toc. Toujours, on entendait :

"Un, deux, trois, quatre, cinq, un, deux, trois..."

Encouragé par cette maitrise de son pouvoir, il découvrit par hasard qu'il en possédait un autre. Vivant en autarcie, cela était pour lui impossible de le découvrir. Mais il y avait un chat qui venait lui rendre visite parfois et Jack se laissait toujours attendrir. Une nuit, le matou sans gène s'endormit dans ses bras. Et Jack, tout a coup s'effondra de fatigue, et vu avec une étrange clarté un rêve de la petite créature qu'il tenait entre ses bras. C'est comme ça qu'il découvrit qu'il pouvait interagir sur les rêves. Le chat fut donc son premier cobaye pour tester son pouvoir, ce qui ne dérangeait nullement l'animal qui était nourri et câliné.

Une fois, coursant l'estomac sur patte en question, il monta sur le toit. Il regarda en bas, recula et se prépara. Il devait le faire. Un pas, deux pas, trois pas, quatre pas et il sauta...

Mais il ne retomba pas. Il n'a pas pu atteindre le bas. Car à ce moment avait jailli de son dos de magnifiques ailes blanches. Les plumes tourbillonnaient autour de lui, alors qu'il était enveloppé par une douce lumière. Il était un ange. Sans qu'il sache pourquoi, cette évidence le frappa. Mais il était un angelot déchu. Et qui pouvait aider un ange gardien ? Qui prenait soin de ceux qui sont censés veiller sur les autres ?

Mais il existait quelqu'un. Un homme, plutôt vieux. Qui recherchait des personnes particulières. Des gens qui comme lui, serait des descendants de créatures légendaires. C'est en tout cas ce que lui dit l'Oracle qui vint se présenter à sa porte, un matin où Jack était encore à moitié réveillé. Il avait poussé les détritus qui décoraient harmonieusement le sol et mis quelques habits au linge sale. Son antre ne ressemblait plus à rien désormais. Elle était comme lui, une loque. Mais le vieil homme, de sa voix caverneuse lui avait dit ceci :

"Je ne viens pas ici pour vous expliquer qui vous êtes. Je pense que vous avez très bien conscience de vos capacités. C'est un héritage que vos ancêtres vous ont transmis, atténué par la rencontre avec le gène humain. Vous pourrez partir à la recherche de vos origines plus tard. Ce que je vous demande, c'est de venir avec moi dans un pensionnat. Celui-ci est très spécial, puisqu'il n'accueille que des personnes comme vous. Et pour de tels élèves, nous avons besoin de professeurs particuliers. Nous cherchons un professeur de théâtre et vous semblez parfait pour ce travail. Je pense que cela vous changera et vous sortira de cette dépression. Tentez votre chance, au moins quelques semaines. Vous n'avez jamais rêvé d'avoir une vraie maison ?"

Alors qu'il rejoignait le pensionnat, Jack choisit de laisser ses souvenirs derrière lui. Il se promit de ne plus jamais user de la violence, de ne plus fuir. Il se plaça une ligne de conduite. Quand il a commencé son premier jour en temps que professeur, sa folie avait disparu, ou tout du moins en grande partie. Ses réflexions étaient toujours intenses, mais allaient dans la bonne direction. Il avait remonté la pente petit à petit avant de prendre le bateau pour Abberline. Ses trois premières années au pensionnat ne furent pas de tout repos. Comme un prof qui débute, il dut apprendre à gérer ses élèves, les relations avec les autres professeurs. Très vite, il fut apprécié pour son côté fantasque et étrange. Ses cours étaient toujours animés et pleins de surprise. Même si parfois il ne se sentait pas intégré, il savait que ce n'était qu'un mauvais jour à passer. Il avait peut-être trouvé ce qu'il cherchait depuis longtemps : guider des enfants vers le bon chemin qu'il refusait d'emprunter. Etre un ange gardien et accepter le passé. Même si monter Hamlet et ses cinq actes faisait toujours ressortir une étrange lueur dans son regard et que ses échauffements étaient toujours divisés en cinq étapes.


Derrière l'écran

PSEUDO : Elofeea ou Feathers. Comme vous voulez.
ÂGE : Comme l'alcool rouge.
COMMENT ÊTES VOUS ARRIVÉ ICI ? Euh... Avec mon imagination. Un pas de coté et hop ! On invente et on crée un jolie petit forum **
UN PETIT AVIS : C'est beau. Voilà.
DES SUGGESTIONS ? Je veux des membres gentils. C'est tout.
UN MOT POUR LA FIN : Les coquillages, c'est le bien
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Jack Deeper

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